Le chroniqueur de Canal+ Julien Cazarre fusille littéralement le CSA
D'habitude, Julien Cazarre s'attaque (avec humour) aux joueurs de football de Ligue 1, désormais, c'est le CSA qui est dans le viseur du chroniqueur de Canal Plus et d'Europe 1.
Dans un entretien donné à Télérama, le journaliste de “Y’a pas péno” (il anime la rubrique “Interdit de Stade ” et de “J+1” n’a pas fait dans la langue de bois. Pour Julien Cazarre, le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel est en train de devenir une “belle merde de propagandistes de la bien-pensance”…
Je suis à fond derrière Tex
Julien Cazarre : “Je veux pouvoir rire du terrorisme, des femmes battues, des fachos…” – Sortir – Télérama.fr https://t.co/lnMv3IB2Ta via @telerama
— Dams Mlaradio. (@Dams__M) January 10, 2018
A la question de Télérama “Etes-vous protégé par un totem d’immunité car vous allez parfois loin ?”, Julien Cazarre s’emballe : “Je m’en fous que ça dérange les “assoces” ou autres pisse-froids. Je suis à fond derrière Tex et je trouve désolant que, aujourd’hui, l’humour trash dérange les gens de gauche. A l’époque de mes parents, les réacs, c’étaient les mecs d’extrême-droite ou les cathos qui s’offusquaient de tout. C’était plus facile, pour un humoriste, d’être détesté par ces gens-là. Il ne se sentait pas obligé de s’excuser a tout bout de champ. Entre le Cran, le Crif, les LGBT et tous les cons qui décident qu’ils représentent tout le monde, on devrait baisser son froc à chaque blague“, s’agace le chroniqueur.
Je veux pouvoir rire de tout
Face au “politiquement correct”, Julien Cazarre souhaite pouvoir rire de tout : “Moi, je veux pouvoir rire du terrorisme, des femmes battues, des fachos, de tout, sans qu’on vienne me les briser. Et tant pis pour les conséquences, comme disaient Gandhi ou Patrick Sébastien, je ne sais plus. Le CSA, qui était une bonne chose au départ, est en train de devenir une belle merde de propagandistes de la bien-pensance.“