Blake Lively : Woody Allen “sait exactement ce qu’il veut”
À l'occasion de la sortie de "The Shallows" au cinéma, Blake Lively est revenue lors d'un entretien sur sa première expérience de tournage avec Woody Allen, pour la comédie dramatique "Cafe Society".
Il n’est pas aux manettes de The Shallows, rebaptisé Instinct de survie en France. C’est pourtant à l’occasion de sa sortie, récente aux États-Unis (24 juin) et prochaine en France (24 août), que la comédienne Blake Lively s’est confiée sur sa première expérience cinématographique avec le réalisateur Woody Allen.
Il ne s’agissait pas là de ses débuts au cinéma, sa carrière sur le grand écran n’ayant ainsi que réellement démarré il y a une dizaine d’années. Mais avec Cafe Society, présenté en ouverture du dernier Festival de Cannes, Blake Lively n’a pas vraiment eu le temps d’être blasée, comme elle l’a confiée à Hamptons Magazine.
Woody Allen, “très encourageant” et “stimulant” pour Blake Lively
“C’est vraiment cool de travailler avec un réalisateur qui a tant fait, parce qu’il sait exactement ce qu’il veut. Le fait qu’il tourne une scène entière en une seule prise – [et] ça peut être une scène avec huit personnes et une à deux prises – ça vous confère un certain niveau de confiance, parce que quand c’est tourné, il a eu ce qu’il voulait.”
Et d’ajouter que Woody Allen est “aussi très encourageant sur le pourquoi de ta présence au casting, en te disant : ‘Prononce le dialogue qui est écrit et après ça tu pourras improviser pendant un moment’. Et son dialogue est si particulier, et ça parle dans un dialecte des années 30 avec des références [de date], alors c’est intimidant de penser, Oh, laissez-moi improviser ici, en espérant que mes mots se marieront harmonieusement avec ceux de Woody Allen. Ce qui ne serait clairement pas le cas et qui ne l’est pas. Mais c’est quelque chose de très stimulant.”
“The Shallows”, autre atmosphère ?
Dans The Shallows de l’Espagnol Jaume Collet-Serra (Esther), Blake Lively incarne Mia, une jeune femme qui, alors qu’elle surfait en solitaire, se retrouve aux prises avec un requin blanc. Elle trouve d’abord refuge sur un rocher, avant de penser à sauver définitivement sa peau en allant regagner le rivage. Ce dernier n’est qu’a quelques deux centaines de mètres d’elle, mais aura-t-elle le temps et la force d’y parvenir saine et sauve ?