Apolline de Malherbe répond aux critiques acerbes de Jean-Jacques Bourdin après lui avoir succédé sur RMC
Il y a de l'eau dans le gaz dans les locaux de RMC.
Apolline de Malherbe a succédé, voilà plusieurs mois, à Jean-Jacques Bourdin sur RMC. Désormais, l’homme ne présente qu’une interview politique, format pour lequel ce dernier est salué pour ses questions sans langue de bois et entretiens tendus. Mais Jean-Jacques Bourdin a un avis bien tranché sur Apolline de Malherbe, et le journaliste n’est pas tendre. Lors d’une interview pour le JDD, ce dernier avait expliqué que « RMC a toujours été une radio populaire, proche de l’auditeur, loin de l’entre-soi parisien. Et je ne souhaite pas qu’elle s’égare. Cet éloignement explique sans doute les chiffres actuels (…) On s’est peu à peu éloigné du concept très clair d’origine avec trois piliers : information, débat et sport ». Aujourd’hui, la principale intéressée lui répond.
Un mail interne dans lequel Apolline de Malherbe est remontée
Apolline de Malherbe présente Apolline Matin sur RMC et n’apprécie pas les remarque de son prédécesseur. Dans un mail interne révélé par Le Parisien, la journaliste a qualifié de « misérables » les propos de Jean-Jacques Bourdin à son égard. Cette dernière précise que l’homme ne se montrerait pas très courtois envers ses propre collègues : « Certes nous n’imaginions pas de sa part des encouragements. Mais j’espérais pour nous tous au moins le respect du maillot RMC, le respect du collectif, et un minimum d’honnêteté. Je ne pensais simplement pas que l’ancien buteur ». chercherait à marquer contre son camp ».
La journaliste évoque également les audiences en berne de son émission après la reprise du créneau horaire de Jean-Jacques Bourdin. Apolline de Malherbe explique que ces dernières étaient déjà basses : « Les audiences de son interview de 8h35 continuent d’ailleurs encore aujourd’hui à chuter sur l’antenne, davantage que ne baisse la tranche 6 heures-8h35. Vous pouvez compter sur moi et me faire confiance. C’est un travail d’équipe, et je suis fière et heureuse de travailler avec chacun de vous. Nous sommes passionnés, et nous sommes courageux. Je sais le mal que chacun se donne. Continuons, ça vaut la peine ! À demain, avec bonheur ».