Anne Nivat femme de Jean-Jacques Bourdin sur le conflit avec Apolline de Malherbe : “Je dirais ce que j’ai envie de dire au moment où je le choisirais !”
Invitée sur l'antenne d'RTL, l'épouse de Jean-Jacques Bourdin est sortie de sa réserve sur le conflit Jean-Jacques Bourdin vs Apolline de Malherbe…
Venue dans les studios de la station RTL afin de parler de son livre “Dans la gueule du loup” disponible ce mercredi 17 mars, la reporter de guerre Anne Nivat répondait aux questions de Thomas Sotto. Dans son ouvrage, la femme de Jean-Jacques Bourdin souhaite “réhabiliter le journalisme de terrain”, et montrer “qu’elle n’est pas la seule femme aventurière et que beaucoup de femmes qui écoutent l’émission le sont aussi”, explique-t-elle tout d’abord chez nos confrères.
J’ai des choses à dire…
Passé le temps de la promotion, le journaliste Thomas Sotto a voulu évoquer dans ‘RTL Soir’ les tensions sur BFM/RMC entre son mari Jean-Jacques Bourdin et Apolline de Malherbe. Tout commence par un interview donné par le journaliste au JDD : “Je remarque simplement qu’RMC a toujours été une radio populaire, proche de l’auditeur, loin de l’entre-soi parisien. Et je ne souhaite pas qu’elle s’égare. Cet éloignement explique sans doute les chiffres d’audiences actuels“, une déclaration qui a fait bondir Apolline de Malherbe, qui a succédé en septembre dernier au célèbre présentateur. A la question de Thomas Sotto ‘Certains vous accusent de mettre de l’huile sur le feu’, d’abord fermée, Anne Nivat se déverrouille : “Je ne vois vraiment pas ce que vous voulez dire, parce que je peux vous dire que j’ai des choses à dire, et que je ne les dis pas… J’ai choisi de ne pas les dire ! Comme je suis une femme libre, je dirais tout ce que j’ai envie de dire au moment où je le choisirais ! Je parlerai quand j’en aurais envie et si j’estime ça nécessaire ! Pour le moment je préfère revenir à ce que je fais, du journalisme, et je m’excuse d’être mariée à Jean-Jacques Bourdin, et je m’excuse d’être moi-même journaliste ! Ça paraît un petit peu ridicule ! Vous savez, j’étais journaliste avant de rencontrer Jean-Jacques !”, a conclu (avec le sourire), Anne Nivat.