Angleterre : une fillette découvre une épée dans le lac où aurait été jetée Excalibur
Après qu'une petite fille a trouvé une épée dans un lac du sud-ouest de l'Angleterre, le lieu de la découverte laisse à penser qu'il pourrait s'agir de la légendaire Excalibur.
Se pourrait-il que la jeune Matilda, âgée de 7 ans, ait découvert le 29 août dernier la mythique épée Excalibur, celle appartenant au roi Arthur et qui aurait été jetée dans un lac des Cornouailles, dans le sud-ouest de l’Angleterre ? Alors que la famille partait vers cet endroit, le père de Matilda a raconté à cette dernière ainsi qu’à son autre fille de 4 ans, Loïs, la légende du roi Arthur.
Auprès du journal britannique The Star, Paul rapporte que le soleil tapait dur ce jour-là et que Mathilda a demandé à aller se baigner. C’est alors que la fillette, qui avait alors de l’eau jusqu’à la taille, a informé son père qu’elle voyait une épée dans l’eau.
À 7 ans, elle trouve une épée après que son père lui a parlé du roi Arthur
Dans un premier temps, Paul, 51 ans, n’a pas voulu croire les dires de sa fille, mais en y regardant de plus près, il a pu constater que les yeux de Matilda ne l’avaient pas trompée : “[l’épée] reposait simplement là, au fond du lac”.
La découverte a eu plus précisément lieu au Dozmary Pool, où la légende veut qu’il s’agisse du lac où aurait été jetée l’épée Exalibur par Sir Bedivere, conformément au souhait du roi Arthur avant sa mort. Il se dit qu’une main serait sortie des eaux pour agripper l’épée ainsi lancée, avant de disparaître dans les profondeurs du lac.
“Ça vient probablement d’un vieux film”
Le père de Matilda a indiqué que l’épée mesurait quatre pieds de long (environ 1,22 mètre), “soit la taille exacte de Matilda”. Si ses enfants peuvent caresser l’illusion d’avoir découvert un prestigieux morceau de légende, Paul préfère considérer une hypothèse plus rationnelle : “Je ne pense pas que ce soit particulièrement vieux […]. Ça vient probablement d’un vieux film”. Un scénario dont on imagine qu’il n’a pas été soufflé à ses filles, probablement trop contentes de rapporter à leurs camarades d’école être désormais les détentrices d’une arme ô combien célèbre.