X-Factor Nouvelle-Zélande : 2 jurés virés après avoir durement critiqué un candidat
Deux jurés de la version néo-zélandaise de X-Factor ont été remerciés par la production après de durs propos tenus envers un candidat.
Joe Irvine, participant à la version néo-zélandaise du télé-crochet X-Factor, se souviendra probablement longtemps de son passage devant le jury. Après son interprétation du titre Cry Me a River samedi dernier, le jeune homme a ainsi essuyé un retour au vitriol de la part de Natalia Kills, l’une des quatre jurés alors en place.
Cette dernière a fustigé le participant pour son rapprochement bien trop marqué avec l’apparence et le style musical de son mari (Willy Moon, également présent dans le jury) : “Mesdames et messieurs, je vais dire ce qui semble évident, nous avons un sosie ! En tant qu’artiste qui respecte l’intégrité créative et la propriété intellectuelle, je suis dégoûtée de voir à quel point tu as copié mon mari de la coiffure au costume.”
Natalia Kills : un candidat de X-Factor accusé d’être une copie de son mari
Et la chanteuse de 28 ans d’accentuer l’apparent malaise de Joe en lui déclarant qu’il est “la risée de tous”, qu’elle a assisté à quelle chose de “ringard” et de “dégoûtant” et qu’elle est “embarrassée d’être assise” en face de lui. Et si l’on pouvait imaginer que son mari tempèrerait ses propos, il n’en a rien été : “pour moi c’était un peu cheap et absurde.”
Des jurés qui n’ont plus la confiance de la production
Et l’on apprend que moins de 24 heures après l’élimination de Joe Irvine, la production de X-Factor a décidé de se séparer de Natalia Kills et de Willy Moon. Mark Weldon, PDG de MediaWorks (propriétaire de TV3, chaîne sur laquelle est diffusée X-Factor) s’est voulu plus ou moins clair sur le sujet : “nous ne pensons plus que Natalia Kills et Willy Moon soient les bonnes personnes pour assurer le rôle de jurés de X-Factor, et ils vont quitter l’émission, une décision à effet immédiat”. On ignore si cette dernière fait suite à cette pétition en ligne qui demandait l’éviction des jurés concernés et qui aura récolté plus de 70.000 signatures en l’espace de 24 heures.