« Son sourire, cette joie de vivre, de jouer, de Carlos (Alcaraz) c’est aussi sa force », explique l’un de ses coachs

C'est LA sensation du tennis mondial : Carlos Alcaraz fait l'unanimité, partout, même chez ses adversaires.

Ses coachs, le public, ses adversaires, tous adorent Carlos Alcaraz !

Dans les vestiaires, Carlos Alcaraz n’a que des amis. Autant dire que sa sympathie, son comportement sportif, ses petits mots attentionnés font le consensus auprès de tous, même des serveurs des restaurants présents dans les compétitions.

En voiture, il ne se comporte pas du tout comme les jeunes de son âge au volant, il est ultra-prudent

Antonio Martínez Cascales, qui le suit sur l’ensemble de ses tournois, est dithyrambique sur son protégé qui n’aura que 20 ans le 5 mai prochain : « Comme Rafael Nadal, Carlos (Alcaraz) est très mature, responsable. Il a un vrai sens des responsabilités. Par exemple, en voiture, Carlos est très prudent. Nous avons fait un trajet de 40 minutes voici quelques jours et il ne se comporte pas du tout comme les jeunes de son âge au volant. Mais au tennis, ou dans tout type de compétition, il veut gagner, il est très courageux », confie le coach au journal Mundo Deportivo.

Alcaraz n’est pas non plus un grand angoissé…

Contrairement à ‘Rafa’, Carlos Alcaraz est très cool, pas angoissé : « Il est très extraverti. Je ne dis pas qu’il n’a pas des moments où il est plus sérieux, bien sûr. Sinon, il lui manquerait beaucoup de choses pour être à ce niveau. Mais il est ouvert, expressif. C’est un type heureux. Même quand il est moins bien sur le terrain, il garde un sourire expressif, sans ironie aucune envers son adversaire, d’ailleurs, ces derniers le savent très bien« .

Nous ne lui demandons pas de gagner un autre Grand Chelem cette année mais de continuer à jouer comme il le fait

« Nous lui demandons de continuer à nous faire profiter de son jeu. Nous ne lui demandons pas de gagner un autre Grand Chelem cette année. Il va essayer évidemment. Nous lui demandons seulement de continuer à jouer comme il le fait maintenant, de rester comme il est sur et en dehors du court. C’est une des clés. Quand il ne sourit pas, nous lui disons de sourire« , a conclu le coach, heureux de partager sa passion avec ‘Carlitos’…