Secret Story 11 : le candidat Jordan menacé de licenciement par son patron pour « absences injustifiées »
Jordan, l'un des candidats de Secret Story 11, pourrait être licencié par son patron pour 'absences injustifiées". Celui-ci lui avait ainsi refusé un congé sans soldes qui était censé lui permettre de participer sereinement à l'émission.
Un secret peut en cacher d’autres. Jordan est l’un des candidats actuellement en vue dans Secret Story 11, la nouvelle saison de la télé-réalité de TF1 désormais diffusée sur NT1. On peut se souvenir que le programme avait présenté le jeune homme comme un ancien bûcheron reconverti en chauffeur de camion.
Il apparaît en fait, nous indique La Voix du Nord, que Jordan est conducteur de bus et de tram au sein de Transvilles, le réseau de transports du Valenciennois. Il pourrait toutefois perdre cet emploi en fonction de ce qui sera décidé lors d’un conseil de discipline prévu pour se tenir lundi.
Jordan de Secret Story 11 s’était vu refuser un congé sans soldes
Jordan avait demandé un congé sans soldes effectif à partir du 5 septembre. Une requête refusée par son employeur, et chez Transvilles, on semble fort bien comprendre cette décision : « Tout le monde doit être sur le pont le jour de la rentrée. C’est une question d’exemplarité. Sinon tout le monde fait ça, pour aller à la pêche, à la chasse… »
Et cette personne d’ajouter : « Le 5, il ne s’est pas présenté à son poste et depuis, plus de nouvelles. On a vu qu’il était dans l’émission avec l’article dans La Voix du Nord. » Jordan pourrait donc être licencié pour « absences injustifiées ».
« Il a présenté son projet, il aurait pu être écouté »
Le candidat pourra toutefois compter sur le soutien de la section CGT de son entreprise. Bachir Guefif, délégué du personnel qui défendra son dossier, estime que Jordan aurait mérité davantage de considération de la part de sa hiérarchie : « Il a été honnête. Il a présenté son projet, il aurait pu être écouté. On a énormément de gens qui veulent prendre des congés sabbatiques pour faire une formation ou pour se mettre à leur compte, mais on leur refuse. En plus, ça aurait fait une petite pub à Transvilles. Au niveau de la clientèle, on a des gens qui demandent de ses nouvelles. »