Russie : son potager renfermait les ossements de l’ex-compagnon de sa maîtresse
Alors qu'il travaillait sur son potager, un Russe de 52 ans y a trouvé des ossements dont il s'est avéré qu'ils appartenaient à l'ancien compagnon de sa maîtresse.
Cette histoire singulière, en tout cas dans une réalité non fictive, a été révélée dans le village de Luzino, en Russie. Un Sibérien de 52 ans s’active dans son potager d’où il espère voir émerger des pommes de terre. Mais en remuant la terre, il découvre que celle-ci abritait des ossements humains.
Des restes parmi lesquels se trouvaient une mâchoire et un crâne, relate nos confrères du Parisien. Interloqué, notre quinquagénaire n’a cependant pas tout de suite alerté les forces de police. Il a malgré tout fait part de sa découverte à sa maîtresse. Et il était possiblement loin de s’imaginer les révélations qu’allait lui faire la femme, âgée d’une soixantaine d’années.
Sa maîtresse avait enterré le corps de son ex-compagnon après l’avoir dépecé
La maîtresse du Sibérien lui apprend ainsi que les ossements qu’il a extraits de la terre appartiennent à son ancien compagnon. En 1997, elle aurait frappé ce dernier “plusieurs fois à la tête à l’aide d’une hache” lors d’une dispute. Le corps de la victime, elle aussi âgée de 52 ans, aurait ensuite été dépecé par la femme avant que les restes ne soient enterrés dans le potager.
La suspecte désormais interdite de déplacement
Pour justifier la subite disparition de l’homme, sa compagne avait expliqué qu’il était parti chercher du travail, et plus personne n’aura apparemment demandé de ses nouvelles depuis lors. Le tabloïd local Komsomolskaya Pravda écrit que la femme a tenté d’obtenir le silence de son compagnon actuel quant à ses agissements, sans succès.
L’homme a ainsi prévenu les autorités qui ont depuis interdit tout déplacement à sa maîtresse et ce jusqu’à nouvel ordre. Le crime dont elle est accusée, nous dit-on, ne devrait faire l’objet d’aucune prescription.