Paris : un homme mortellement poignardé à la station de métro Châtelet-les-Halles
Vendredi soir à Paris, un jeune homme est décédé après avoir reçu plusieurs coups de couteau à la station de métro Châtelet-les-Halles. Un suspect a d'ores et déjà été interpellé alors qu'un autre demeure en fuite.
Les faits se sont produits vendredi soir à Paris, et plus précisément vers 18h30 dans les couloirs de la station de métro Châtelet-les-Halles (Ier arrondissement). Un homme âgé d’une vingtaine d’années y est mort après avoir reçu plusieurs coups de couteau.
Selon les informations rapportées entre autres par Le Parisien, ce décès causé par arme blanche serait la tragique conséquence d’une dispute au motif inconnu. Deux coups auraient été portés, l’un au thorax et l’autre au flanc.
Homme tué à l’arme blanche à Châtelet : une interpellation opérée
Après le drame, les équipes de sécurité de la RATP (le Groupe de protection et de sécurisation des réseaux, ou GPSR) sont parvenues à interpeller un suspect avant que la police judiciaire (PJ) n’arrive sur les lieux. On ignore à l’heure actuelle la possible responsabilité de cette personne dans les violences commises, d’autant plus qu’un autre suspect apparaît toujours en fuite.
Très forte présence militaire et policière à #Châtelet où un périmètre de sécurité a été mis en place. La police refuse de parler. Certains passants évoquent "un jeune homme poignardé". On ignore pourquoi. Il semble y avoir un corps sans vie sous la bâche dorée. pic.twitter.com/XoQmoRFJ3S
— Guillaume Poingt (@guillaumepoingt) January 12, 2018
Les forces de l’ordre ne communiquent pas
Un journaliste du Figaro a signalé sur son compte Twitter qu’une “très forte présence militaire et policière” a été observée sur place, de même que l’établissement d’un “périmètre de sécurité”. Toujours selon cette source, les forces de l’ordre se refusent à communiquer le moindre élément sur cette affaire.
Une enquête a été ouverte pour d’établir de manière exacte les circonstances précises de ce drame. Rien ne semble permettre d’affirmer si oui ou non la victime et ses agresseurs se connaissaient avant la rixe mortelle.