Mark Zuckerberg : le patron de Facebook affirme ne pas être un lézard
Si l'on attendait une confirmation du principal intéressé, le patron de Facebook Mark Zuckerberg a possiblement rassuré une partie de l'opinion en affirmant ainsi qu'il n'était pas un lézard.
L’information a été délivrée en début de semaine et se révèle probablement comme la plus atypique de toutes celles émises par le patron de Facebook, Mark Zuckerberg, à l’occasion d’une nouvelle session de questions / réponses avec les inscrits du réseau.
L’une de ces questions, rapportée par nos confrères de Begeek.fr, s’est ainsi voulue quelque peu interpellante, et l’on imaginait fort bien que Mark Zuckerberg puisse glisser dessus de par le caractère relativement peu pertinent de l’interrogation : « Mark, est-ce que les rumeurs selon lesquelles tu serais un lézard sont vraies ? »
Le PDG de Facebook ne serait pas un reptilien
Le PDG de Facebook y a pourtant répondu, en affirmant donc le plus simplement du monde : « Je vais répondre non à cette question. Je ne suis pas un lézard ». La frange de la population (4%) croyant à une gouvernance du monde par les reptiliens, soient des lézards à l’apparence humaine, pourra possiblement rester sceptique face à cette réponse en estimant, par exemple, que Mark Zuckerberg a préféré caché sa véritable identité de peur que la sphère internet ne s’emballe dangereusement.
Télépathie : Zuckerberg y croit dans plusieurs dizaines d’années
Dans un registre moins humoristique, le co-fondateur de Facebook a également répondu à la question « Peut-on partager ses sentiments ou ses expériences par la télépathie et les diffuser dans le monde ? » Pour lui, il s’agira d’une réalité dans quelques dizaines d’années, même si son groupe ne travaille pas directement sur cette supposée réalité en devenir :
« Vous serez en mesure de capturer une réflexion, ce que vous pensez ou ressentez dans une forme intelligible et vous serez capable de partager avec le monde tout cela dans un format accessible à tous ». Et de rappeler que l’université de Berkeley a conduit des recherches portant sur l’analyse d’IRM selon l’état d’esprit d’une personne, et aussi que des chercheurs se sont penchés sur la possibilité d’implanter des informations dans le cerveau des rats.