Le vin rouge, cet alcool qui causerait le plus de dégâts à la peau
Un médecin naturopathe a établi le classement des alcools causant le plus de dégâts à la peau. Et d'avoir placé le vin rouge en tête de liste, entre autres pour l'impact négatif qu'il peut avoir sur les personnes atteintes de couperose.
En attendant une éventuelle nouvelle étude qui nous apprendra que le vin rouge améliore l’odeur des selles, pour l’heure, cet alcool observe une phase descendante à en croire les récents propos d’une praticienne. Isabel Sharkar est une médecin naturopathe qui vient ainsi d’expliquer au site POPSUGAR Beauty que le vin rouge est l’alcool le plus nocif pour la peau.
Dans l’ensemble, dit-elle, les alcools causent des rougeurs et forment des poches sur la peau, qu’ils déshydratent par la même occasion. Ils augmentent également les radicaux libres, soient des substances instables pouvant assez facilement impacter les molécules proches.
Dégâts à la peau : le vin rouge devant les cocktails et le whisky
Le docteur Sharkar a établi un classement des alcools selon les conséquences observées d’une consommation sur la peau. En fin de liste, on trouve les boissons spiritueuses telles que la vodka, le gin et la tequila. Le whisky et le rhum se veulent plus impactants, mais moins que la bière.
Troisième du classement, le vin blanc qui, de par le sel et le sucre qu’il contient, peut conduire à une peau enflée et des ballonnements. Les cocktails arrivent à la deuxième place pour leur composition riche en sucre. Lequel favorise les dégâts cellulaires et l’acné, en plus d’une “gueule de bois sucrée” se traduisant par une peau terne et jaunie et des yeux injectés de sang.
Une absence de filtrage préjudiciable
Le vin rouge se distingue certes du blanc par les antioxydants qu’il contient, mais de par une absence de filtrage, il demande davantage d’efforts aux reins et au foie au niveau de son traitement. Le vin rouge est aussi susceptible de provoquer rougeurs, tâches cutanées et bouffées de chaleur.
Un alcool qu’il apparaît donc de consommer modérément, en particulier pour les personnes atteintes de couperose, cette affection se manifestant par des rougeurs localisées et spécifiquement chez les femmes de 30 à 50 ans.