“L’amour est dans le pré” (M6) : des nouvelles d’Emmanuelle, la viticultrice qui avait abandonné l’aventure
À l'occasion de la première partie du bilan de la 17e saison de "L'amour est dans le pré", le programme de M6 a eu des nouvelles d'Emmanuelle, la viticultrice qui n'avait retenu aucun prétendu lors de son passage.
Ce soir vers 21h10, M6 va diffuser la première partie du bilan de L’amour est dans le pré saison 17. La parfaite occasion de retrouver les treize agriculteurs de cette édition, neuf mois après la diffusion des portraits. Parmi eux, on peut se souvenir de Jean-Paul, qui avait participé avec sa fille Emmanuelle. C’était d’ailleurs la première fois qu’un tel binôme prenait part à l’émission.
“L’amour est dans le pré” saison 17 : Jean-Paul avait dit “je t’aime” à une prétendante
Concernant Jean-Paul, il avait invité deux prétendantes à la ferme, Dévi et Valérie. Cette dernière pouvait avoir une sérieuse avance sur sa rivale puisqu’elle connaissait l’agriculteur depuis dix ans. Malgré tout, c’est à Dévi que Jean-Paul avait déclaré sa flamme au moment de la raccompagner à la gare.
Aucune lettre n’avait convaincu Emmanuelle
Emmanuelle avait quant à elle connu une toute autre aventure, au point de l’avorter. La viticultrice était ainsi apparue déçue de constater, après lecture de son courrier, qu’aucun prétendant ne lui donnait envie d’une suite. Le père et la fille ont depuis donné de leurs nouvelles à Karine Le Marchand via visioconférence, des propos rapportés par Télé-Loisirs.
Récente réjouissance pour la viticultrice
Emmanuelle a avoué qu’il y a peu, elle a noué contact avec une personne, et que ce lien n’est noué il y a très récemment, d’où son hésitation à en dire davantage. Et alors que l’animatrice lui demandait s’il était encore utile que des prétendants lui écrivent, Jean-Paul a indiqué que deux cartons de courriers les attendaient. La viticultrice a ensuite laissé entendre que si une trentaine de courriels lui avaient été envoyés, le bon démarrage de sa relation la motivait à ne plus regarder ailleurs.