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La DGCCRF a pris pour cible 4 influenceuses célèbres pour leurs méthodes controversées

Société > Internet > Publicité
Par Lionel Durel,  publié le 10 août 2023 à 15h30, modifié le 10 août 2023 à 16h13.
Société
Image d'illustration

Image d'illustrationADN

Ce jeudi, la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) a mis en garde Amandine Pellissard, Fanny Sanial, Gulfer Taskiran et Mélanie Orlenko pour des 'publications trompeuses' sur les réseaux sociaux.

Quatre influenceuses (Amandine Pellissard, Fanny Sanial, Gulfer Taskiran et Mélanie Orlenko) ont été sommées de cesser les “pratiques commerciales trompeuses” sur leurs comptes Instagram, Snapchat, TikTok et Youtube.

Un prestataire ne disposant pas des qualifications requises

Gulfer Taskiran, Amandine Pellissard et Mélanie Orlenko épinglées pour avoir trompé “le consommateur sur la licéité” d’un service, en l’occurrence des injections d’acide hyaluronique “par un prestataire ne disposant pas des qualifications requises”, écrit sur son site ce jeudi la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes.

Après une nouvelle vidéo postée il y a 2 jour pour une crème solaire, un internaute a écrit à Mélanie Orlenko : “Tiens, il semblerait que vous deviez afficher la sanction de la DGCCRF pour ‘pratique commerciale frauduleuse’ ?“…Si la jeune femme ne l’a pas fait, elle a posté le hashtag #publicité.

La DGCCRF leur ordonne de “cesser ces pratiques” et “de se mettre en conformité” avec le code de la consommation

Parmi les reproches de la DGCCRF, il y a le fait que les jeunes femmes n’ont pas précisé que leurs publications avaient un ‘caractère publicitaire’ (stories et vidéos) et qu’elles étaient payées et rémunérées pour ces annonces. Du coup, la DGCCRF leur a ordonné de “cesser ces pratiques” et “de se mettre en conformité” avec le code de la consommation.

Des plaintes déposées par des Internautes

Plus sévère face aux abus, la DGCCRF a prononcé ces dernières semaines plusieurs injonctions contre des influenceurs. Il y a quelques semaines, le couple Marc et Nadé Blata a été visé par 2 enquêtes pour escroqueries suite à des plaintes faites par des Internautes.

⚠️ Une injonction administrative est notifiée à Amandine PELLISSARD pour ne pas avoir indiqué le caractère publicitaire de stories et présenté comme licites les prestations de médecine esthétique d’une prestataire non qualifiée
👉https://t.co/FbFLz4t72E pic.twitter.com/xKTrScHGye

— DGCCRF (@dgccrf) August 10, 2023

Le Récap
  • Un prestataire ne disposant pas des qualifications requises
  • La DGCCRF leur ordonne de “cesser ces pratiques” et “de se mettre en conformité” avec le code de la consommation
  • Des plaintes déposées par des Internautes
En savoir plus
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