Jurassic World : un succès important lors du lancement aux USA
Alors qu'Universal s'attendait à ce que Jurassic World rapporte 100 millions de dollars pour son premier week-end d'exploitation aux États-Unis, on pourrait finalement se rapprocher du double. C'est une très bonne surprise au box office pour ce nouveau film de la série.
Jurassic World est sorti le 10 juin dernier en France, mais les États-Unis n’ont pu le découvrir que vendredi. C’est pourtant au pays de l’Oncle Sam que sa performance est à surveiller de près ces prochaines heures. Pour son premier jour d’exploitation, il avait ainsi déjà généré 75 millions de dollars de recettes, un résultat qui prenait en compte les avant-premières de la veille (18,5 millions).
Les prévisions d’Universal quant à la performance du week-end (100 millions de dollars de recettes) ont donc de grandes chances d’être atteintes voire même dépassées. The Hollywood Reporter nous apprend à ce sujet qu’il est fort probable que Jurassic World termine ce week-end avec des recettes comprises entre 181 et 200 millions de dollars.
États-Unis : Jurassic World, bientôt dans la cour des grands ?
Et s’il rapportait au minimum 180 millions de dollars en trois jours, Jurassic World signerait là le troisième meilleur démarrage jamais réalisé au box-office américain. En se postant ainsi devant Iron Man 3 (174,1 millions) tout en restant dans l’ombre d’Avengers : L’Ère d’Ultron (191,3 millions) et Avengers premier du nom (207,4 millions). Il est en tout cas déjà titulaire du meilleur départ pour un film sorti en juin aux USA, devant Fast & Furious 7.
Chris Pratt reconnaissant
Chris Pratt, qui tient le rôle principal dans ce quatrième volet de la franchise, a exprimé sur Facebook sa gratitude vis-à-vis de tous les spectateurs étant allés le voir : “Au nom de tous ceux qui ont été impliqués dans le tournage de Jurassic World, et croyez-moi nous sommes des milliers, je tiens à vous dire merci.” En France, Jurassic World a déjà dépassé les 359 000 entrées, même si Jean Le Leouff, directeur du Musée des dinosaures d’Espéraza dans l’Aude, déplore de regrettables incohérences telles une absence de plumes chez les raptors et le recours à une invraisemblable “pseudo-génétique”.