Jean-Félix Lalanne (frère de Francis) : “Il y a plein d’aspects de Francis que je ne comprends pas, même en étant son frère”
Après que Francis Lalanne ait été visé par une plainte d’un journaliste de l'émission "Quotidien" pour des coups, son frère Jean-Félix évoque le caractère de son frère.
Pas simple de comprendre le caractère de Francis Lalanne selon Jean-Félix Lalanne, son propre frère. Invité sur le plateau de la chaîne ‘Non Stop People‘ lors de l’émission ‘L’instant de Luxe’, ce dernier est revenu sur les récentes et nombreuses polémiques nées autour du chanteur.
Interviewé dans le Parisien, Francis Lalanne nie avoir frappé un journaliste de “Quotidien” (Canal+) : “Je conteste formellement avoir frappé ce cameraman. Il s’agit d’une mise en scène à laquelle l’équipe de Yann Barthès est malheureusement coutumière”, a-t-il tenté d’expliquer.
Pourquoi t’as fait ça, pourquoi t’as dit ça ?
A nos confrères de ‘Non Stop People’, Jean-Félix Lalanne explique avoir plusieurs fois discuté des récentes polémiques touchants Francis Lalanne : “On s’en amuse et parfois mais moins maintenant. Il y a une époque, je l’appelais pour lui dire : ‘Francis, pourquoi t’as fait ça, pourquoi t’as dit ça ?’ Il y a plein d’aspects de Francis que je ne comprends pas, même en étant son frère et en le connaissant. Il y a quelque chose qui est super important et que les gens doivent comprendre, c’est qu’il est vraiment sincère“, défend Jean-Félix Lalanne.
Mais alors, pourquoi l’interprète de “On se retrouvera” est-il mêlé à des polémiques inutiles qui nuisent fortement à son image ? Là encore, difficile de répondre : “Les gens disent qu’il fait ça parce que ça marche moins bien, il a besoin de reconnaissance. Il rentre dans des combats, des croisades, mais moi je ne rentre pas là-dedans, et parfois Francis m’appelle en me disant : ‘Ce serait bien que tu partages ça’, mais je dis non parce que je ne suis pas d’accord“, a-t-il dit. Jean-Félix Lalanne regrette que les combats de son frère soient inutiles : “Il ne rentre que dans des combats qui ne le servent pas. Ce sont des combats perdus d’avance“, admet Jean-Félix Lalanne.