Indre : il roulait ivre en trottinette électrique sur une route départementale
Samedi à Châteauroux, dans l'Indre, un homme a été interpellé alors qu'il roulait ivre en trottinette électrique sur une route départementale. L'individu a depuis écopé de deux amendes.
Le samedi 7 août dernier en début de soirée, la gendarmerie de l’Indre a partagé facebook.com/gendarmeriedelindre/posts/3037432056533612?__cft__[0]=AZVAA2Vh6xQW4lYbFf8q8-_KdgIWsra9cuasl04pepYi8NybKk6yzmaoMLBNN6vSXyh2wqJ7Vu212B_SkuOX_s7GyflktfC-zOx_OInZiG-8mKZdQ5mZi_d7mQtHfq7xFCf5LH9D2A-Sk9laf75f3mKg&__tn__=%2CO%2CP-R">sur sa page Facebook un incident survenu plus tôt dans la journée à Châteauroux. Dans cette publication, repérée par La Nouvelle République, on a ainsi appris qu’un homme sur une trottinette électrique a été contrôlé alors qu’il circulait dans une zone non autorisée pour lui.
En trottinette électrique, il est contrôlé très en deçà de la limite autorisée
L’individu, à l’âge non précisé, a été interpellé sur la RD975 hors agglomération par les gendarmes du peloton motorisé de Châteauroux. Nos confrères indiquent que ce pilote roulait “bien en deçà de la limite autorisée”, ce qui avait dû alerter les militaires. Ceux-ci rappellent qu’en agglomération, les EDP (engins de déplacement personnels) motorisés “ont obligation de circuler sur les pistes et bandes cyclables lorsqu’il y en a. À défaut, ils peuvent circuler sur les routes dont la vitesse maximale autorisée est inférieure ou égale à 50 km/h. Hors agglomération, leur circulation est interdite sur la chaussée, elle est strictement limitée aux voies vertes et aux pistes cyclables.”
En état alcoolique et de récidive
Ce n’est pas tout car cet usager de la route roulait en état d’ivresse. Il a ainsi été contrôlé avec 0,47 mgr d’alcool par litre d’air expiré, ce qui correspond à près d’un gramme d’alcool par litre de sang. De plus, cette personne a agi en état de récidive. Elle a depuis écopé de deux amendes : une de classe II pour la conduite de sa trottinette sur une route départementale et une autre pour avoir roulé sous l’empire d’un état alcoolique (CEA). La première est établie à 22 euros et la seconde “peut aller jusqu’à 4 500 euros”.