« Il a fumé la moquette » : Anne-Claire Coudray ne parlait pas de Donald Trump
La présentatrice du JT de TF1 est (enfin) revenue sur cette célèbre phrase prononcée à l'antenne.
C’est au début du mois de novembre que Anne-Claire Coudray s’est faite remarquer pour une petite bourde. En plein direct, la présentatrice du JT de TF1 s’est exclamée « il a fumé la moquette notre ami ». Beaucoup de spectateurs ont immédiatement fait le parallèle avec Donald Trump, puisque la phrase a été prononcée en pleine élection présidentielle étasunienne. Pensant que son micro était éteint à ce moment, Anne-Claire Coudray révèle chez NRJ qui était réellement visé. C’est dans l’émission de Cauet, qui a récemment dévoilé avoir triché à Qui veut gagner des millions ?, que la présentatrice s’est exprimée.
Anne-Claire Coudray s’adressait simplement… à un collègue
Le 7 novembre dernier, Joe Biden était annoncé grand vainqueur de l’élection présidentielle étasunienne par les médias du pays. Une défaite que Donald Trump refuse toujours de reconnaître, qui en agace certains. Autant dire que lorsque Anne-Claire Coudray, présentatrice du JT de TF1, s’est exclamée « il a fumé la moquette notre ami », les spectateurs ont cru cette phrase adressée à l’ancien dirigeant des USA. Mais il n’en est rien !
Anne-Claire Coudray a expliqué chez Cauet qu’elle « ne parlait absolument pas de Donald Trump car je ne suis pas aussi familière avec le président américain. C’était très affectueux car en fait, et je peux le dire car il ne m’en voudra pas, notre envoyé spécial venait de faire un dernier direct, le jour où Joe Biden était désigné président. Mais par les médias. Vous savez qu’aux Etats-Unis ça marche comme ça. Et il se trouve qu’il nous dit que c’est officiel, que Joe Biden est président et en fait ça ne sera officiel que le 14 décembre et il y a eu des recours etc (…) Du coup, à la fin, j’attends le générique évidemment et je dis qu’il a fumé la moquette notre ami. C’est délicieusement ringard ! Mais voilà je ne savais pas que c’était à l’antenne. Et je m’en suis rendue compte à la tête des gens qui étaient derrière la vitre… »