“Idéologie bobo de m..de” : le coup de gueule de Bernard de La Villardière
L'animateur Bernard de La Villardière s'en est récemment pris à une certaine presse dont il estime qu'elle diffuse une "idéologique bobo de m..de".
Il n’est pas toujours nécessaire passer par des questions pour obtenir un point de vue. L’animateur d’Enquête exclusive Bernard de La Villardière s’est ainsi récemment exprimé sur un sujet qui n’aurait éventuellement pas été abordé autrement.
Le journaliste fait cette semaine la Une de Society pour avoir fait, à son tour, l’objet d’une enquête exclusive par le magazine. On peut cependant douter qu’il était prévu que son portrait comporte sa vision d’une certaine partie de la presse. Ainsi, au moment de saluer Marc Beaugé, chargé de dresser l’image de Bernard de La Villardière, ce dernier s’est enquis de l’état de santé du milieu du journalisme : “Alors, comment va la presse ? C’est difficile pour vous en ce moment, hein”.
Bernard de La Villardière : sa critique des journaux “bobo”
Et l’animateur d’enchaîner, comme rapporté par OZAP : “En même temps, quand on regarde le contenu…” Avant d’ajouter : “Tu prends ‘L’Express’, bon bah c’est devenu un journal bobo c.n, avec cette idéologie bobo de m..de que je déteste de plus en plus”. Society en prend aussi gentiment pour son grade : “Enfin, je sais que vous êtes bobo vous aussi”.
Bernard de La Villardière explique ensuite que “bobo, c’est l’idéologie multiculturaliste à la con”, et que “c’était sympa dans les années 70. Mais là, c’est juste c.n”.
“À chaque fois qu’il y a une polémique, ce sont les mêmes !
Le sujet de la presse “bobo” revient lorsque est évoquée la polémique née suite à la diffusion, dans le cadre du tournage de Dossier tabou, d’une altercation entre des jeunes de Sevran et Bernard de La Villardière : “À chaque fois qu’il y a une polémique, ce sont les mêmes !”
L’animateur estime enfn que si Télérama “n’a jamais fait un bon papier sur (lui)”, c’est parce que les journalistes de la publication “font du délit de sale gueule”, en plus de témoigner d’une “pure paresse intellectuelle”.