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Hautes-Pyrénées : 18 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de sa mère adoptive

Faits Divers > Justice > Hautes-Pyrénées
Par Gael Brulin,  publié le 26 janvier 2019 à 14h05.

Vendredi, la cour d'assises des Hautes-Pyrénées a condamné un homme de 24 ans à 18 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de sa mère adoptive. Jusqu'au bout, le prévenu aura clamé son innocence.

Vendredi, Daniel A., 24 ans, a été condamné par la cour d’assises des Hautes-Pyrénées à 18 ans de réclusion criminelle pour le meurtre de sa mère adoptive. L’avocat général avait requis à son encontre 20 ans de réclusion, une peine qu’il entendait être assortie d’une peine de sûreté et d’une mesure de suivi socio-judiciaire.

En mai 2013, rappelle 20 Minutes, Dominique A., 57 ans, disparaissait de son domicile de Loucrup. Depuis mars 2012, cette enseignante en histoire-géographie était en arrêt maladie pour dépression. Les autorités avaient été alertées de cette disparition par le frère de la quinquagénaire, ainsi inquiet de ne plus avoir de ses nouvelles.

Condamné pour avoir tué sa mère adoptive : le corps n’aura jamais été retrouvé

Une enquête avait alors été ouverte pour “disparition inquiétante”, avant que le 20 mai 2014, le procureur de Pau ne procède à l’ouverture d’une information judiciaire pour “homicide volontaire”. Des traces de sang avaient ainsi été découvertes dans le véhicule de Dominique A., sans toutefois qu’il ait été possible de les exploiter.

Le fils adoptif de la quinquagénaire, Daniel A., avait rapidement été désigné comme un suspect plausible. Peu après la disparition de sa mère adoptive, dont le corps n’aura jamais été retrouvé, il s’était ainsi approprié plusieurs biens appartenant à cette dernière. En janvier 2015, il était mis en examen pour “homicide sur ascendant”.

Le prévenu a nié jusqu’au bout

Un premier procès ouvert en février 2018 avait dû être renvoyé après une semaine suite à plusieurs incidents. Même scénario en novembre dernier en raison de différents ayant opposé les anciens et les nouveaux avocats de l’accusé.

Ce dernier, adopté en Haïti à l’âge de 7 ans, a été bringuebalé entre foyers et familles d’accueil. Devant la cour, il a reconnu que sa mère adoptive pouvait se montrer “vite colérique”, “agressive” et “même violente” avec lui. Alors que les jurés s’apprêtaient à délibérer, il a clamé son innocence : “Je n’ai pas tué ma mère”.

Puis, toujours en direction des jurés, il a émis le souhait suivant : “j’espère que vous me donnerez une chance de pouvoir reprendre ma vie”.

Le Récap
  • Condamné pour avoir tué sa mère adoptive : le corps n’aura jamais été retrouvé
  • Le prévenu a nié jusqu’au bout
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