États-Unis : accusé du viol d’une fillette, il prétend qu’elle est tombée enceinte par un vêtement
Aux États-Unis, un homme de 33 ans accusé du viol d'une fillette de 11 ans a reconnu l'enfant mis au monde par cette dernière. Il a toutefois démenti tout rapport sexuel et prétend désormais que la petite fille est tombée enceinte via un vêtement lui appartenant.
Cette histoire se passe aux États-Unis. Les forces de l’ordre reçoivent un appel anonyme les informant de la grossesse supposée d’une fillette. Les policiers se mettent sur l’enquête et leurs recherches les amènent à mettre en cause un certain Robert C., 33 ans.
La petite fille en question a depuis accouché, et des tests ADN ont confirmé que le suspect est bien le père de l’enfant récemment mis au monde. L’homme, appréhendé lundi dernier, a été incarcéré dans une prison de New York sans possibilité d’être libéré par le versement d’une caution, souligne Paris Match.
Elle aurait été mise enceinte par un vêtement porté souillé par l’homme
Et si Robert C. reconnaît être le père de l’enfant de la fillette, il dément tout rapport sexuel avec elle. D’après lui, la petite fille serait tombée enceinte en portant un vêtement dans lequel il s’était masturbé.
“Quand j’ai appris qu’elle était enceinte, tout s’est écroulé autour de moi parce que j’ai compris ce que cela impliquait. Mais je ne veux pas être accusé d’un crime que je n’ai pas commis”, affirme-t-il, et d’avoir acquiescé quand la journaliste de NEWS10 en face de lui lui a indiqué que ce raisonnement n’allait pas forcément être compris par le grand public.
La fillette et son enfant protégés par les services sociaux
On sait que l’homme vivait avec sa fiancée et leurs cinq enfants à Niskayuna, dans l’État new-yorkais, et que la fillette le connaissait sans toutefois que la nature de leur relation ait été précisée. Les faits remonteraient à février ou mars de l’année dernière.
La petite fille et son enfant ont été placés sous la protection des services sociaux, et le père du bébé, jusqu’ici inconnu de la justice, d’être quant à lui désormais accusé de “mise en danger du bien-être d’un enfant” et d'”agression sexuelle criminelle contre un enfant de moins de 13 ans”.