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Grèce : échec de la présidentielle, crise politique

International > Grèce
Par Jérôme,  publié le 29 décembre 2014 à 12h36.

Les députés grecs devaient élire lundi matin le nouveau président proposé par le gouvernement. Ce fut un échec.

Stavros Dimas, candidat du gouvernement à la présidence de la Grèce, n’a pas été élu par les députés lundi matin. L’ancien commissaire européen devait recueillir 180 voix à l’issue de ce 3ème et dernier tour de l’élection .

180 voix qui n’ont pas été obtenues, le Parlement est donc dissous et le 25 janvier ou 1er février 2015, des élections législatives anticipées seront donc organisées.

Syriza, parti de la gauche radicale, en position de force

A 11h heure française, les 300 députés devaient se lever à l’appel de leur nom, et choisir de répondre Stavros Dimas ou seulement présent. Une majorité d’entre eux a choisi la seconde solution, provoquant automatiquement la convocation d’élections législatives anticipées en 2015.

Celles-ci doivent avoir lieu 40 jours après la dissolution du Parlement, ce que le premier Ministre Antonis Samaras a 10 jours pour faire. A ce jour, c’est parti de la gauche radicale Syriza qui est en tête des intentions de vote devant le parti du premier Ministre. Cette formation souhaite renégocier les conditions de l’aide financière internationale effectuée par l’Europe et le FMI.

La Bourse d’Athènes chute

Syriza est une formation qui lutte contre la politique d’austérité mise en place par la Grèce depuis 4 ans maintenant. La perspective de son arrivée au pouvoir inquiète les créanciers du pays et la Bourse d’Athènes accusait une perte de 11% ce matin.

Alexis Tsipras, leader de Syriza, pense quant à lui que les différents partenaires européens “se sont fait à l’idée que Syriza sera au gouvernement et que de nouvelles négociations commenceront”. Dans le même temps, le ministre allemande des Finances estimait quant à lui samedi dans Bild que “de nouvelles élections ne changent rien à la dette grecque. Chaque nouveau gouvernement doit respecter les accords pris par ses prédécesseurs”.

Le Récap
  • Syriza, parti de la gauche radicale, en position de force
  • La Bourse d’Athènes chute
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