Dépression saisonnière : la luminothérapie peut y remédier
Plus communément appelée dépression saisonnière, le TAS (trouble affectif saisonnier) est très fréquente en cette période automnale.
Un déficit d’exposition à la lumière
Médecine douce et naturelle, la luminothérapie est une source de bien-être et d’amélioration de la santé, surtout si, comme chaque automne, vous vous sentez triste, fatigué (e), un peu mou (molle) voire parfois avec un manque d’appétit. Plus renfermé (e), vous avez moins envie de relations sociales. Attention, vous souffrez peut être d’une dépression saisonnière ou TAS.
Moins envie d’aller vers les autres
On le sait, l’organisme (et notre moral) a besoin de lumière naturelle, en cette saison et selon les régions mais aussi selon votre métier, vous ne pouvez pas passer de temps à l’extérieur d’autant qu’il fait nuit tôt, une solution s’offre pourtant à vous : la luminothérapie va vous permettre de lutter en 20 à 30 minutes contre vos changements d’humeur ou de comportement.
Très utilisée dans les pays nordiques
Très utilisée dans les pays nordiques, vous aller pouvoir vous aussi vous exposer chez vous -le matin de préférence- grâce à une lampe de luminothérapie vendue dans le commerce entre 100 € et 200 €.
Veillez à choisir une lampe bénéficiant du marquage ‘CE médical (93/42/CEE)’
Comment choisir sa lampe de luminothérapie ? Sachez d’abord qu’une journée ensoleillée d’été apporte 100 000 lux et que votre éclairage standard chez vous émet de 50 à 100 lux, un appareil proposant jusqu’à 10 000 lux / lumens (réglable sur 6000 ou 10000) sera donc parfait (postez-vous à 60 et 70 cm de l’appareil). Veillez à choisir une lampe bénéficiant du marquage ‘CE médical (93/42/CEE)’.
Des contre-indications ?
Idéalement et avant de commencer la luminothérapie, parlez-en à votre médecin. Cependant la prudence est de mise pour les personnes souffrant de troubles tels que la schizophrénie, la paranoïa ou l’épilepsie, ceux prenant des médicaments photosensibilisants et pour les personnes ayant un glaucome, un herpès ophtalmique, une DMLA, une rétinite pigmentaire ou diabétique ou de la cataracte.