Daniel Radcliffe avait une habitude pour faire enrager les paparazzi
Alors qu'il était encore auréolé d'une popularité essentiellement due à son personnage de Harry Potter au cinéma, Daniel Radcliffe était une cible privilégiée des paparazzi. Mais il avait une façon bien à lui de s'en défaire.
Aujourd’hui, le temps qui passe aidant à plus d’un titre, Daniel Radcliffe n’est plus tellement le petit sorcier à lunettes choisi pour incarner Harry Potter au cinéma. Mais en 2007, alors qu’un nouveau film de la franchise, Harry Potter et l’Ordre du Phénix, allait débarquer dans les salles obscures, l’acteur pouvait difficilement se promener sans que ses sorties ne soient capturées par des objectifs et résumées sur quelques pages glacées.
Également comédien de théâtre, Daniel Radcliffe jouait un tour aux paparazzi qui l’attendaient
À cette époque, Daniel Radcliffe jouait également dans la pièce de théâtre Equus mise en scène par Thea Sharrock. Soit une occasion supplémentaire pour les paparazzi de compléter leur collection de clichés du comédien britannique. CBS News rapporte une anecdote racontée par Daniel Radcliffe au mois de juillet 2007 dans l’émission ‘Tonight Show”, de Jay Leno. Elle concernait la manière qu’avait l’acteur de se vêtir avant de monter sur scène : “Je portais la même tenue à chaque fois, avec différents t-shirts en dessous, mais je portais la même veste et je la zippais pour qu’ils [NDLR : les paparazzi] ne puissent pas voir ce que je portais en dessous, et le même chapeau”.
Des photos qui semblaient être toutes les mêmes
Et Daniel Radcliffe d’expliquer que cette façon de procéder avait pour but d’ennuyer ces journalistes de la presse à sensation : “Ils pouvaient donc prendre des photos pendant six mois mais elles donnaient l’impression d’avoir été prises le même jour. Elles devenaient impubliables, ce qui était hilarant parce qu’il n’y a rien de mieux que de voir les paparazzi être vraiment frustrés.” Avec l’émergence des réseaux sociaux, ce genre de plaisanterie n’aurait possiblement pas le même impact de nos jours, avec même le risque d’exalter encore plus les médias concernés.