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Côtes-d’Armor : 6 mois avec sursis pour un maire qui avait sexuellement agressé une conseillère municipale

Faits Divers > Justice > Côtes-d’Armor
Par Gael Brulin,  publié le 12 avril 2021 à 18h00.

Jeudi, le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc a condamné l'actuel maire de Coatréven à six mois de prison avec sursis pour l'agression sexuelle d'une conseillère municipale en mai 2019.

Les faits ayant été jugés plus tôt tôt dans la semaine par le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) remontent au 20 mai 2019. Ils mettent en cause l’actuel maire de Coatréven, commune rurale située non loin de Lannion. Ce jour-là, rapporte Le Télégramme (article complet réservé aux abonnés), l’élu avait croisé une conseillère municipale en face de la mairie. Une discussion avait alors débuté, avant que ses deux intervenants ne la poursuivent sous un abribus.

Un maire poursuivi pour avoir caressé une conseillère municipale en 2019

C’est sous cet abribus que le maire se serait laissé aller à caresser le bas-ventre puis les seins de son interlocutrice. Suite à ce qu’elle venait visiblement de considérer comme une agression sexuelle, la conseillère municipale avait déposé plainte auprès de la gendarmerie plus tard dans la journée. Le Trégor relate les propos tenus par cette femme lors de sa déposition : “Le maire m’a caressé le bas-ventre et ma poitrine, je l’ai repoussé avec force et je me suis enfuie, je me suis sentie humiliée et salie, j’en ai immédiatement parlé à mon amie conseillère comme moi pour lui demander conseil, et le soir j’en ai parlé à mon mari”.

12 mois avec sursis requis

Jeudi, soit environ deux ans après les faits, le maire de Coatréven comparaissait devant la justice pour répondre des accusations dont il faisait l’objet. Le procureur de la République a requis douze mois de prison avec sursis probatoire, avant que le tribunal correctionnel ne décide de rendre une peine deux fois moins lourde. Celui qui a affirmé avoir éventuellement frôlé le corps de la conseillère “par inadvertance” aura à verser 2 000 euros à la victime au titre de préjudice moral et 1 000 euros supplémentaires pour les frais d’avocat engagés. Enfin, son nom est désormais inscrit au Fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles et violentes (Fijais).

Le Récap
  • Un maire poursuivi pour avoir caressé une conseillère municipale en 2019
  • 12 mois avec sursis requis
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