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Charles Aznavour sort un 51ème album et rejette toujours les accusations d’exil fiscal

Divertissement > Bouches-du-Rhône > Provence-Alpes-Côte d’Azur > Arles
Par Jérôme,  publié le 4 mai 2015 à 17h10.

Mine de rien, "Encores" est le 51ème album de Charles Aznavour. A 90 ans, l'artiste a encore des choses à dire, et c'est vers son passé qu'il se tourne.

Il aura 91 ans le 22 mai prochain l’autre Grand Charles. Charles Aznavour est de retour avec un nouvel album intitulé Encores. Une joli pied de nez à ceux qui lui reprochent de ne pas partir “quand il faut”, de repousser sans arrêt le moment de ses adieux.

Encores, un album empreint de nostalgie

Oui, c’est bien la nostalgie qui parcourt ce 51ème album. Un passé qui prend ses racines dans la guerre, Montmartre ou encore Edith Piaf. Est-ce cette nostalgie qui semble jeter un voile sur la voix et le souffle de l’artiste, venant signifier que le temps qui passe est le même pour tout le monde ? Toutefois, en studio, rien n’a été fait pour masquer ces effets du temps sur sa voix, et même son célèbre vibrato est toujours bien audible.

Dans Un brin de nostalgie, on peut entendre Aznavour chanter “Je n’attends plus rien de la vie”. Et pourtant… en septembre, il retrouvera la scène du Palais des Sports de Paris pour 6 dates en l’espace de 13 jours.

Aznavour et l’Arménie, la France, les accusations d’exil fiscal

Au magazine L’Obs, Charles Aznavour s’est confié dans son édition en ligne du jour. Au sujet de l’Arménie, il rappelle qu’il “n’est pas [mon pays], juste celui de mes racines. Mon pays, c’est la France, ma culture est française”. Celui qui se trouvait debout aux côtés de François Hollande lors de la commémoration du génocide arménien évoque les Turcs : “J’attends que les gouvernements turcs se réveillent. Le mot-clef en Turquie, c’est l’honneur. Quand ils lèvent leur verre, il le lève à votre honneur. L’honneur de reconnaître ses erreurs est plus fort que l’honneur de ne pas les reconnaître. Ils ne savent même pas pourquoi ils ont fait ce qu’ils ont fait”.

Dans le quotidien suisse Le Temps, il est également revenu sur les attentats de janvier, qui l’ont beaucoup choqué. Sans pour autant avoir versé dans Je Suis Charlie : “Je ne sais toujours pas si je suis Charlie, lâche Aznavour. On a tué des gens formidables pour un dessin. Mais beaucoup, ensuite, sont aussi descendus dans les rues de Paris par snobisme, sans jamais avoir ouvert Charlie Hebdo auparavant. Or, vous savez, je déteste le snobisme. Je n’aime pas cette manière de se montrer. Moi, je me montre en scène”.

Par ailleurs, et nous retournons à son entrevue avec L’Obs, il évoque à nouveau les accusations d’exil fiscal portées à son encontre : “J’ai répété mille fois que je n’étais pas parti, on m’a poussé dehors. Tout cela pour une affaire qui s’est soldée par un non-lieu (…) Moi, un évadé fiscal ? Qu’ils viennent me le dire en face ! Je ne dis jamais de mal des autres, moi ! Heureusement que j’ai le public de mon côté et une sacrée carapace. Mes détracteurs mourront avant moi (rires)”.

Le Récap
  • Encores, un album empreint de nostalgie
  • Aznavour et l’Arménie, la France, les accusations d’exil fiscal
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