‘C’est Canteloup’ : Nicolas Canteloup très heureux de sa nouvelle collaboration avec Hélène Mannarino
Le 12 septembre, Hélène Mannarino succédait à Alessandra Sublet dans 'C’est Canteloup', sur TF1.
Lors de la première de ‘C’est Canteloup’ sur TF1 le 12 septembre dernier, Nicolas Canteloup lançait son rendez-vous avec son humour habituel : « Après quatre ans de règne, la reine Alessandra II nous a quittés et c’est donc la princesse Hélène de Mannarino qui lui succède« …
En début de mois, la journaliste Hélène Mannarino se confiait sur ce nouveau rôle aux côtés de Nicolas Canteloup chez nos confrères de ‘La voix du Nord‘ : « J’ai un grand respect pour ‘C’est Canteloup’, l’important c’est qu’on fasse les choses bien, qu’on s’amuse et qu’on se dise qu’on ne s’est pas trompé. Ma priorité, c’est de bien faire mon boulot« , précisait alors la jeune femme biberonnée à l’information.
J’ai un grand respect pour ‘C’est Canteloup’
Pour Télé7jours, Nicolas Canteloup raconte sa ‘rentrée des classes’ avec sa pastille humoristique et sa nouvelle collègue : « J’ai débuté avec ‘gourmandise’. Entre l’actualité qui change beaucoup, marquée notamment par le remaniement du paysage politique, et l’arrivée d’une nouvelle partenaire. On a fait quelques répétitions, avant l’été, pour valider le choix d’Hélène (Mannarino). Et après l’été, car on est de bons élèves. Hélène présente bien, avec suffisamment de caractère, de personnalité et de répondant. Hélène est de la même veine qu’Alessandra. Elle n’a pas la langue dans sa poche », avance Nicolas Canteloup.
Hélène présente bien, avec suffisamment de caractère
Sur le départ d’Alessandra Sublet, Nicolas Canteloup dit ne pas avoir été réellement surpris : « En septembre de l’année dernière, déjà, elle m’avait fait part de son enthousiasme après avoir tourné dan le téléfilm ‘Handigang’. Je savais qu’elle voulait s’engager dans la voie de la comédie. Pour cela, il lui fallait plus de temps. C’est une femme courageuse, qui va au bout de ses convictions, alors même qu’elle avait une place confortable « chez nous » », a conclu Nicolas Canteloup.