Cadeaux de Noël : les Français plus nombreux à les déballer le 24 décembre au soir
Un sondage YouGov révèle que les Français sont plus nombreux à déballer leurs cadeaux de Noël le 24 décembre au soir, 48% s'y prenant ainsi à ce moment-là contre 23% le lendemain matin.
Se souhaiter un “Joyeux Noël” entre amis ou collègues de travail en revient généralement à se formuler des vœux de fêtes réussies. Il convient cependant de préciser que Noël, comme semblent l’indiquer la majorité des calendriers, intervient précisément le 25 décembre. Le déballage des cadeaux étant censé coïncider avec cette célébration, il devrait par conséquent et assez logiquement s’opérer ce jour-là. Soit, pour l’année 2017, demain lundi.
Ils sont pourtant un certain nombre de Français à ne pas attendre jusque là pour découvrir ce que le père Noël a cru bon de leur distribuer. Un sondage YouGov réalisé pour le Huffington Post nous apprend ainsi que près de la moitié des répondants s’y prennent le 24 décembre au soir.
34% des Français ouvrent leurs cadeaux de Noël le 25 décembre au matin
Dans le détail, sur cet échantillon de 1.016 personnes représentatives de la population française majeure et interrogées en ligne les 14 et 15 décembre 2017, 48% ont déclaré ouvrir leurs cadeaux le soir du réveillon. Viennent, à 34%, les sondés qui attendent le lendemain matin pour s’y employer.
Le reste des répondants a soit choisi de ne pas répondre, soit, possiblement plus surprenant, donné une autre date. En creusant un peu, on découvre que ce sont les plus jeunes, même si pas tant que ça (18-24 ans), qui font montre d’impatience en étant ainsi 56% à déballer précocement leurs cadeaux contre 44% des 25-34 ans.
Les hommes plus stressés par les repas de famille
Généralement, qui dit fêtes de fin d’année dit repas de famille longs voire interminables. Pour 60% des personnes interrogées, ces réunions représentent un agréable moment à passer, alors que 36% des sondés les redoutent, éventuellement pour des relations pus ou moins tendues selon les membres rassemblés. Les hommes constituent, de peu, le sexe le plus anxieux à cette idée, 39% d’entre eux ressentant ainsi de l’appréhension devant cette perspective contre 34% des femmes.