Brésil : une adolescente de 16 ans fait cuire son cochon d’Inde au micro-ondes
Après y avoir été incitée par des amis, une adolescente brésilienne de 16 ans a fait cuire son cochon d'Inde au micro-ondes. L'animal a finalement pu être sauvé, et la jeune fille d'avoir été punie par son père.
Si le chien est le meilleur ami de l’Homme, l’inverse, étendu aux animaux en général, peut-il se vérifier ? On ne pourra en tout cas vraisemblablement pas répondre à cette question par l’affirmative à la lecture de ces faits s’étant récemment produits au Brésil.
Vitoria est une adolescente de 16 ans qui, mise au défi par des amis, avait choisi de mettre son cochon d’Inde au micro-ondes et de mettre l’appareil en route. Une scène qui a été filmée et postée sur la toile, pour un retentissement dont on peut se demander s’il a étonné ou non la jeune Brésilienne.
Cochon d’Inde mis au micro-ondes : l’ado punie
Les commentaires postés ont ainsi insulté Vitoria tout en manifestant de la compassion pour le cochon d’Inde torturé. Le mot-dièse #PunicaoParaVitoria (punition pour Vitoria) est même apparu sur le réseau social Twitter. Le père de l’adolescente a finalement pris connaissance de ce que sa fille avait fait et, rapporte le Daily Star, l’a “présentée aux autorités”.
Tous les comptes sociaux de Vitoria ont depuis été supprimés, et son père d’avoir déclaré : “Ma fille a déjà été punie pour son mauvais comportement”. La suppression de ses vies sociales constitue possiblement, du moins en partie, cette correction.
L’animal va bien, le père présente ses excuses
Le papa de Vitoria a également assuré que le cochon d’Inde allait “bien”. Il a ajouté “présenter ses excuses au nom de l’ensemble de la famille” et que “nous prenons tous soin des animaux dans cette maison et nous ne laisserions jamais passer quelque chose comme ça. Nous demandons à nouveau pardon pour tout ce qui s’est passé.”
Les autorités brésiliennes ont pris en charge l’animal et l’ont conduit à une clinique vétérinaire. On ignore s’il sera rendu à sa famille, même s’il apparaît à peu près certain que Vitoria n’en aura plus la responsabilité.