Aluminium : 60% des vaccins seraient dangereux pour la santé
L’aluminium est présent dans les vaccins. Des associations accompagnées de chercheurs tentent de sensibiliser la population sur les dangers des sels d’aluminium. Ils réclament des financements pour qu’ils puissent continuer leurs travaux, car certaines découvertes sont inquiétantes.
L’aluminium dans les vaccins serait problématique. Une maladie baptisée Myofasciites à macrophages a déjà été repérée dans 585 des cas depuis les 15 dernières années. Les chercheurs veulent continuer leurs travaux, ils souhaitent sensibiliser la population sur la relation entre les adjuvants et cette maladie. Cette dernière se manifeste par des troubles de la mémoire, de l’attention, une grande fatigue et des douleurs musculaires. Les sels d’aluminium seraient présents dans 60% des vaccins. Le docteur Romain Gherardi indique que les recherches étaient sur la bonne voie, mais elles doivent être stoppées, car les finances ne suivent pas. Il a tenté grâce au soutien de l’association de patients E3M et l’eurodéputée d’attirer l’attention sur le manque de financements. Le médecin estime qu’il y a également une certaine contradiction dans le discours de l’ANSM. L’agence souhaite que l’aluminium soit supprimé des cosmétiques, mais celui présent dans les vaccins ne doit pas être enlevé.
L’aluminium nocif pour la santé ?
L’aluminium dans les vaccins relance donc le débat. Certains estiment qu’il est néfaste pour la santé, mais d’autres indiquent qu’il est nécessaire puisque son rôle est important notamment dans l’efficacité du produit. Deux débats sont donc présents depuis les années 90. À cette époque, certains vaccins (DT polio, hépatite A, B) contiennent une faible dose de sels d’aluminium, mais ceux pour la grippe n’en contiennent pas. À quoi sert l’aluminium ? Cet adjuvant permet de stimuler la réaction immunitaire tout en augmentant la réponse de l’organisme au vaccin. Certaines études montrent qu’il n’est pas éliminé dans l’organisme et serait la cause d’une maladie. Cette dernière intitulée myofasciite à macrophages a été repérée dans le muscle de l’épaule.
À cet endroit, le patient avait été piqué lors d’une précédente vaccination. Chez la souris, les particules d’aluminium ont tendance à se retrouver dans la rate, le cerveau, le foie en circulant dans le sang depuis le muscle. Certains scientifiques estiment qu’aucune enquête n’a démontré un lien entre la maladie et la vaccination. Le médecin estime que la maladie touche près de 1% de la population. Certains individus seraient également considérés comme « à risques », il souhaite identifier les gènes favorisant le développement de la maladie. Le médecin estime qu’il serait préférable d’utiliser de nouveaux adjuvants non bios persistants, toute la substance serait éliminée dans les 15 jours après la vaccination.