À 14 ans elle doit tomber enceinte, car sa mère adoptive veut un enfant
Cette adolescente de 14 ans devait tomber enceinte pour satisfaire le désir d’enfant de sa mère adoptive. Pendant deux ans, elle a vécu un véritable calvaire.
À 17 ans, une jeune femme se présente à l’hôpital pour accoucher. Elle est en présence de sa mère qui aurait eu un comportement très bizarre. Les sages-femmes remarquent que sa fille ne doit pas allaiter, car elle ne souhaite pas que ce genre de liens soit favorisé. La mère voulait également garder le nourrisson pour elle, ce qui a conduit le personnel à transmettre le dossier à la protection de l’enfance. L’adolescente a donc raconté son calvaire qui a duré près de deux ans. L’adulte avait déjà adopté trois filles à l’étranger, mais la quatrième demande avait été refusée.
Remercier sa mère adoptive
L’adolescente aurait donc décidé de tomber enceinte pour la fête des Mères et lui offrir cet enfant. La mère de famille décide de se procurer des seringues de sperme qu’elle achète sur Internet. Cette jeune fille de 14 ans doit dans sa chambre réaliser les inséminations. Un an plus tard, elle fait une fausse couche. La mère se transforme en tortionnaire et la force à prendre des douches acides, au citron, au vinaigre comme le rapporte le Parisien. Elle doit également suivre un régime alimentaire très strict. Après deux ans de calvaire, la jeune fille a réussi à tomber enceinte et a accouché d’un petit garçon. Pendant le procès, elle a expliqué qu’elle voulait offrir cet enfant à sa mère adoptive pour la remercier de l’avoir adopté.
5 ans de prison ferme
L’affaire qui se déroule au Royaume-Uni a été portée devant la justice. Les médias ont eu l’autorisation de révéler ce dossier, car le procès s’est terminé il y a quelques jours. La mère de famille a été condamnée pour cruauté sur enfant et a obtenu 5 ans de prison ferme. Les services sociaux auraient dû se rendre compte de la détresse des filles adoptées puisqu’elles n’allaient pas à l’école et ils avaient été avertis à 4 reprises. Selon le journal, les services sociaux n’ont fait qu’appeler la mère de famille.