Menu
24matins.fr
Obtenir l’application
Navigation : 
  • Actualité
    • Faits Divers
    • Insolite
    • Société
    • International
  • Économie
  • Santé
  • Politique
  • Sport
    • Foot
  • Tech
    • Sciences
  • Divertissement
    • Cinéma
    • Séries TV
    • Musique
    • Médias
    • People
En ce moment : 
  • Pouvoir d'achat
  • COVID-19
  • Jeux olympiques

UMP : l’avenir du parti se joue aujourd’hui

Politique > UMP
Par Jérôme,  publié le 10 juin 2014 à 12h20.

Tensions maximales à l'UMP, dont le bureau politique se tient ce soir. Outre l'après-Copé, c'est bien de 2017 dont il s'agit.

A 18 heures ce mardi, le bureau politique de l’UMP se réunit pour ce qui semble être le rendez-vous de la dernière chance. Après l’affaire Bygmalion et la démission de Jean-François Copé de la tête du parti d’opposition, celui-ci n’a jamais paru aussi fragile.

Pour le moment, c’est le triumvirat Juppé-Raffarin-Fillon qui préside à la destinée de l’UMP, mais à l’avenir ? Car le trio, nommé à la hâte, n’a pas recueilli la totalité des “suffrages”, loin s’en faut. Nadine Morano et Claude Guéant, pour ne citer qu’eux, n’apprécient pas cette direction.

Bureau politique de l’UMP : l’ombre de Nicolas Sarkozy planera

Statutairement, c’est le vice-président délégué, à savoir Luc Chatel, qui doit assurer la vacance du pouvoir avant le congrès prévue à l’automne. Mais là encore, ça coince : Luc Chatel a également démissionné, même si son départ n’a été acté par aucun vote.
Tout cet imbroglio est en tout cas de la plus haute importance pour l’UMP. Car 2017 et l’échéance présidentielle se profilent déjà à l’horizon. Sans compter que Nicolas Sarkozy n’est jamais bien loi, lui dont le retour est demandé plus qu’à demi-mot par certains ténors du parti, Morano et Hortefeux en tête.

ce soir Anne Levade, présidente de la Haute autorité du parti, aura la lourde tâche de veiller au bon respect des statuts d’un parti qui arrivera en ordre dispersé. Ce matin, Nathalie Kosciusko-Morizet ajoutait sa petite touche personnelle en déclarant au Parisien que l’UMP devait “changer de nom et vendre le siège”. Elle explique que ce siège est “est froid, glacial, à présent il rappelle de mauvais souvenirs”, et ajoute : “nous avons de toute façon besoin d’argent”.

Le Récap
  • Bureau politique de l’UMP : l’ombre de Nicolas Sarkozy planera
Vous aimez nos contenus ?
Recevez chaque jour nos dernières publications gratuitement et directement dans votre boite mail
Recevoir la newsletter
  • À Propos
  • Nous contacter
  • Infos Légales
  • Gestion des données personnelles
  • France
  • Deutschland
  • United Kingdom
  • España
© 2023 - Tous droits réservés sur les contenus du site 24matins.fr  - ADN Contents -