Safari terrifiant en Zambie : un homme survit à l’attaque d’un hippopotame
Un touriste britannique a vécu un véritable cauchemar lorsqu'un hippopotame a renversé son canoë et l'a grièvement blessé en le coinçant dans sa mâchoire. Pensant à sa fin proche, il a survécu de justesse. Comment a-t-il réussi à s'en sortir ?
Tl;dr
- Un touriste britannique survit à une attaque d’hippopotame en Zambie.
- Il a été gravement blessé et s’est retrouvé coincé dans la mâchoire de l’animal.
- L’hippopotame, bien qu’herbivore, est considéré comme l’animal le plus dangereux, causant jusqu’à 3 000 morts par an.
Incident dramatique lors d’un safari
En juin 2024, une escapade en canoë lors d’un safari en Zambie a viré au drame pour un touriste britannique de 63 ans, Roland Cherry. Alors qu’il naviguait tranquillement, son canoë a été attaqué par un hippopotame, le laissant gravement blessé et « coincé dans la mâchoire » de l’animal, comme il l’a relaté à la BBC.
Un face-à-face terrifiant
Roland, blessé à la jambe, à l’épaule et à l’abdomen, a été « emmené au fond de la rivière » par l’hippopotame avant d’être libéré. Sa compagne Shirley, qui avait réussi à s’éloigner à la nage, a dû assister impuissante à la scène. Plus tard, Roland a confié avoir cru à ce moment-là qu’il allait mourir.
Les séquelles de l’attaque
Secouru puis transporté en Afrique du Sud pour être soigné, Roland a survécu à ses blessures. Un chirurgien lui a d’ailleurs déclaré qu’il n’avait « jamais rencontré quelqu’un qui avait survécu à une attaque d’hippopotame auparavant ».
Malgré l’ampleur de ses blessures, Roland ne déteste pas les hippopotames et se dit même heureux d’avoir pu vivre dans leur habitat naturel.
Un animal dangereux malgré les apparences
Si l’hippopotame est herbivore et généralement non agressif, il est néanmoins considéré comme l’animal le plus dangereux. En effet, il est responsable de 300 à 3 000 morts humaines chaque année. Les mâles peuvent atteindre une longueur de 5 mètres et peser jusqu’à 1,8 tonne.
Leur morsure est trois fois plus puissante que celle d’un lion. Une réalité que Roland Cherry ne risque pas d’oublier de sitôt.