Addiction aux réseaux sociaux : une étude résumée en vidéo
Une récente étude américaine révèle une addiction des internautes aux réseaux sociaux, et une vidéo, française cette fois-ci, de présenter les résultats de cette enquête de manière pédagogique. Où l'on apprend notamment que 48% des 18/34 ans se lèvent avec Facebook.
L’addiction aux réseaux sociaux est une réalité. C’est du moins celle que présente une récente étude américaine, dont les résultats sont résumés en moins de deux minutes par une vidéo postée sur le compte YouTube du dénommé “Maître Chat”.
Après le constat énoncé plus haut, on apprend par exemple que pour 48% des 18-34 ans, la première action du matin n’est autre qu’une connexion à Facebook. Et pour rester sur ce réseau social, il a été découvert que ses inscrits s’y connectent plus ou moins quatorze fois par jour et y restent en moyenne 1h45.
Addiction aux réseaux sociaux : près d’un jeune sur deux se lève avec Facebook
Le pourquoi de cette addiction s’explique, nous dit-on, par les réactions positives provoquées dans notre cerveau par toutes les interactions proposées sur les réseaux sociaux. Et les notifications reçues de stimuler un système de récompense comprenant également celui de la dépendance.
Une dépendance accentuée par une facilité d’accès aux réseaux sociaux, en effet consultables sur son smartphone ou sa tablette. Et ces habitudes, finalement récentes, de conduire à ce que les connexions à ces réseaux s’observent parfois, voire souvent, sans que l’on ne s’en rende vraiment compte.
Smartphones : une consultation toutes les dix minutes
Il a également été constaté qu’au-delà des réseaux sociaux, le contact avec les périphériques permettant leur accès se veut lui aussi très fréquent. Ainsi, un utilisateur de smartphone le consulte en moyenne toutes les dix minutes et n’y reste la plupart du temps que moins de trente secondes.
Pourtant, lutter contre ces addictions apporte des bienfaits non négligeables à qui veut bien s’y essayer : le stress et l’anxiété se voient par exemple réduits, de même que le risque de dépression. Par la même occasion, on y gagne en sommeil et en concentration. Encore faut-il savoir situer les limites à ne pas franchir.