RegionsJob, ses sites régionaux et Cadreo donnent naissance à Hellowork.com.
Le 30 avril dernier, onze sites emplois historiques de HelloWork Group, parmi lesquels RegionsJob et Cadreo, ont fusionné pour devenir Hellowork.com.
Cette fusion s’accompagne d’un objectif clair : rendre le marché du recrutement plus transparent.
HelloWork, acteur phare de l’emploi
Le groupe HelloWork, né il y a maintenant vingt-deux ans, est un des acteurs phares du secteur de l’emploi, du recrutement, et de la formation. Dirigé par le duo formé par Jérôme Armbruster et François Leverger, HelloWork (anciennement RegionsJob) se développe à vitesse grand V ces dernières années et ambitionne de continuer à bousculer les grands noms du marché de l’emploi, notamment Indeed sur le territoire français.
Avec ses 400 000 offres publiées en continu sur ses sites emploi et ses 4 millions de visiteurs mensuels, le Groupe Rennais s’affirme comme le leader français du secteur. Derrière son nouveau slogan évocateur « Notre job, vous aider à choisir le vôtre », HelloWork génère sur ses plateformes plus de 2,5 millions candidatures par mois et aide ainsi 5000 personnes par jour à trouver un emploi.
Afin de pérenniser ses activités et ne pas mettre ses œufs dans le même panier, le Groupe a souhaité se diversifier il y a quelques années, notamment dans le secteur de la formation, en lançant MaFormation.fr, avec la formation professionnelle, et en rachetant Diplomeo.com, pour la formation initiale. Ne souhaitant pas s’arrêter là, HelloWork a continué sa croissance externe ces derniers mois. Dernier exemple en date : L’acquisition de Basile au printemps 2022, une solution de cooptation pour les entreprises. « C’est une approche complémentaire par rapport aux outils de recrutement déjà présents dans notre offre de services aux recruteurs », indique Jérôme Armbruster, Président du groupe HelloWork. Derrière ces rachats, Le groupe rennais souhaite renforcer sa position actuelle de leader en étoffant son offre de solutions, la plus exhaustive qu’il soit pour les recruteurs.
HelloWork, c’est aujourd’hui 430 collaborateurs et 150 recrutements annoncés pour l’année 2022. Pour accompagner sa croissance, le Groupe se renforce dans tous les domaines, et cherche de nouvelles compétences pour ses équipes techniques, commerciales et ses fonctions support.
Renforcer sa notoriété et sa puissance de frappe
Derrière ce nouveau site unique, HelloWork souhaite tout d’abord renforcer son image de marque. « Nous avions besoin d’une notoriété de marque plus forte pour aller encore plus loin », indique David Beaurepaire. En créant Hellowork.com, les dirigeants entendent s’adresser aux candidats et aux recruteurs par le biais d’une voix unique. A ce titre, le Groupe a lancé des campagnes de communications impactantes pour accompagner l’arrivée du nouveau site. En effet, jusqu’à maintenant plutôt discret dans les médias, le logo d’HelloWork apparaitra fréquemment sur les supports tv et digitaux entre autres (YouTube, réseaux sociaux…) et son slogan résonnera davantage sur les bandes radios dans les prochaines semaines. HelloWork, par ces investissements, souhaite maintenant capter l’attention des candidats et des recruteurs à travers son nom de marque HelloWork. Même si le nouveau site adopte le même aspect visuel que les anciens sites régionaux ou RegionsJob, de nouvelles fonctionnalités pour les utilisateurs arriveront ces prochaines semaines, et une future refonte graphique est prévue.
Bousculer les codes du recrutement
Avec ce nouveau site flambant neuf, HelloWork souhaite rebattre les cartes dans le marché de recrutement et faire bouger les lignes. Plus concrètement, le Groupe veut placer le candidat au centre de ses préoccupations, et lui garantir le plus de transparence possible dans son process de recrutement. En filigrane, le candidat sera considéré de plus en plus comme un client, afin de lui donner la possibilité de choisir pour quelle entreprise il va travailler, comme un client le ferait avec un produit qu’il veut acheter. Pour cela, HelloWork compte offrir au candidat le plus d’informations possibles lorsqu’il candidate, que ce soit la rémunération d’un poste, l’état d’avancement de sa candidature, ou les différentes étapes de recrutement. Le site va donc légèrement modifier son approche avec les entreprises et les inciter à communiquer davantage sur leurs offres à pourvoir. L’objectif est simple : rapprocher les attentes des candidats d’un côté, et les entreprises de l’autre.
HelloWork a aussi l’ambition de proposer une expérience de plus en plus personnalisée à ses candidats, en leur soumettant des offres individualisées en fonction des différents profils. En prenant l’exemple de Doctolib, François Leverger veut fluidifier l’expérience candidat et réinventer la recherche d’emploi. Parallèlement, HelloWork a aussi la volonté de proposer aux entreprises des candidatures qualifiées qui correspondent encore plus à leurs besoins.
En attendant que la fusée quitte définitivement son orbite, les premiers chiffres qui tombent sont très encourageants pour le Groupe breton : début mai, la nouvelle plateforme a d’ores et déjà battu son record d’audience et son nombre de candidatures reçues en vingt-quatre heures, établi précédemment par l’ensemble des sites régionaux agrégés.