Point G : on a enfin mis la main sur la zone érogène la plus recherchée
Le point G est soumis à diverses anecdotes depuis les travaux d’Ernest Grafenberg en 1950. Ce médecin s’était lancé le défi de prouver la sensibilité d’une partie du vagin.
Son vœu a été exaucé puisqu’une équipe de scientifiques a publié une étude révélant l’existence de cette zone qualifiée d’érogène. Les résultats ont été produits via une recherche quelque peu morbide. Adam Ostrzenski, un gynécologue de St-Petersbourg a eu recours au cadavre d’une femme. Le vagin de cette dernière a donc été disséqué en vue d’en apprendre davantage sur le point G.
Le médecin localise avec précision le point G au sein de la paroi vaginale. Il se situerait derrière la membrane périnéale et formerait un ensemble de trois régions. La longueur serait de 8 mm, mais la largeur pourrait varier entre 1.5 à 3.6 mm. La finesse de la zone est prouvée avec une hauteur de 0,4 mm.
Cette étude apporterait selon Adam Ostrzenski une avancée considérable dans « l’amélioration du fonctionnement sexuel des femmes ». Sur le territoire français, cette découverte n’est pas surprenante, Odile Buisson a prouvé l’existence du point G il y a plusieurs années notamment avec son livre « Qui a peur du point G ».