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Nicolas Sarkozy : L’ancien président va « peut-être être obligé de revenir »

Politique > Sarkozy
Par Jennifer Larcher,  publié le 7 mai 2013 à 18h02.

Nicolas Sarkozy, qui s’est lancé dans une tournée mondiale, est de passage à Las Vegas et fait part de son avis sur la situation.

Nicolas Sarkozy observe avec inquiétude le bilan de François Hollande qui est aux commandes de la France depuis un an. L’UMP qui a d’ailleurs lancé une campagne choc baptisée « L’échec » liste toutes les préoccupations du parti de droite. L’actuel Président de la République n’aurait pas apporté du positif aux Français et aurait même contribué à un début de chute. Face à cette situation, Nicolas Sarkozy estime qu’il va « peut-être être obligé de revenir », car « la société est très fragile, il suffit d’une allumette ».

François Hollande est « nul »

Ce n’est pas la première fois que Nicolas Sarkozy fait part de son attention de revenir sur la scène politique française. Il y a quelques semaines, en mars, l’ancien chef de l’État avait indiqué à Valeurs Actuelle qu’il serait sans doute obligé de revenir non pas par devoir, mais par nécessité. Dans les colonnes du Parisien, Nicolas Sarkozy fait part de son extrême inquiétude « Le pouvoir socialiste est en train de s’effondrer sur lui-même ». Il estime que François Hollande est « vraiment nul ».

Nicolas Sarkozy est inquiet

Le bilan de François Hollande n’est pas en sa faveur, Nicolas Sarkozy est consterné par les 1500 chômeurs de plus par jour, cette altercation que le mariage pour tous a engendrée, la diminution du pouvoir d’achat… Pour l’ancien leader de l’UMP, le Président de la République n’est pas autoritaire et il a même été consterné de voir que Claude Bartolone et Arnaud Montebourg ont eu gain de cause dans l’affaire de transparence. Un récent sondage proposait aux Français de voter pour un candidat comme si nous étions en période électorale. Nicolas Sarkozy arrivait au second tour en compagnie de Marine Le Pen, alors que François Hollande était relégué à la troisième place.

Le Récap
  • François Hollande est « nul »
  • Nicolas Sarkozy est inquiet
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