Le secret méconnu du logo Lidl qui pourrait bouleverser votre vision de l’enseigne

Image d'illustration. LidlLidl / PR-ADN
Un élément discret dissimulé dans le logo de Lidl intrigue aujourd’hui les observateurs attentifs. Cette particularité, longtemps passée inaperçue, offre un nouvel éclairage sur l’identité visuelle de l’enseigne et la façon dont elle communique avec ses clients.
Tl;dr
- Le logo Lidl vu comme un chien pianiste.
- Le phénomène viral divise et inspire des détournements.
- Rivalité amusée entre Lidl et Aldi.
Quand un logo anodin devient phénomène viral
Qui aurait cru que le discret logo de Lidl, omniprésent sur les parkings, vitrines et sacs de supermarché, deviendrait le centre d’une obsession collective ? Il aura suffi d’une vidéo postée sur TikTok pour bouleverser la perception de milliers d’internautes. Sur le compte de @misskatiefett, l’interrogation est lancée : « Quelqu’un m’a dit que le logo Lidl ressemblait à un chien en train de jouer du piano, et maintenant je ne vois plus que ça ». Impossible alors, pour beaucoup, de regarder l’enseigne sans déceler la silhouette canine derrière ce qui n’était autrefois qu’un assemblage de lettres colorées.
Internet s’enflamme : illusions, détournements et débats
Le buzz s’amplifie rapidement. Les internautes se prennent au jeu, affinent les analogies, partagent leurs propres versions retouchées du logo pour mieux souligner la fameuse posture du « chien pianiste ». Ce qui n’était qu’une lettre rouge penchée devient soudainement une patte ; les deux « L » se transforment en touches d’instrument et la courbe jaune marque la queue animée du quadrupède imaginaire. Dans ce flot créatif, certains avouent avoir mis plusieurs minutes avant de distinguer l’animal : « Cela m’a pris quelques minutes, mais j’ai trouvé le chien en train de jouer du piano », s’enthousiasme l’un d’eux.
Pourtant, la magie n’opère pas sur tout le monde. Une partie des utilisateurs revendique son scepticisme : « Je ne le vois pas et cela me convient parfaitement », confie un autre participant aux échanges. Cette fracture bon enfant alimente la conversation, oscillant entre émerveillement collectif et résistance amusée à l’effet viral.
Détournements graphiques et guerre des enseignes
Ce succès inattendu n’a pas manqué de faire réagir le concurrent direct de Lidl. Plutôt que d’ignorer ou de contrer frontalement l’engouement, Aldi y répond par une touche d’humour sur ses réseaux sociaux : « Nous ne pouvons le voir que lorsque nos yeux sont complètement fermés ». Un clin d’œil bien senti qui vient pimenter une rivalité historique entre les deux géants du hard discount.
Par ailleurs, cette histoire insolite remet au goût du jour une vieille question linguistique qui taraude régulièrement les consommateurs français. Faut-il prononcer « Lee-dl » à l’allemande ou adopter la version britannique « Little » ? La France hésite toujours. Même débat autour de Aldi, dont peu connaissent l’étymologie liée aux frères Albrecht et à leur contraction du mot « discount ».
Quand les réseaux sociaux redéfinissent notre regard
Ce simple jeu visuel souligne à quel point nos perceptions peuvent être bousculées par une blague virale. Le pouvoir d’interprétation collectif fait désormais partie intégrante de l’identité visuelle des marques – quitte à transformer un symbole anodin en motif incontournable… voire obsessionnel.