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Journée mondiale de l’épilepsie : une maladie encore méconnue

Santé
Par Gael Brulin,  publié le 9 février 2015 à 10h55, modifié le 9 février 2015 à 12h17.

À l'occasion de la tenue aujourd'hui de la Journée mondiale de l'épilepsie, mettons en lumière quelques interrogations utiles.

Remercions d’abord nos confrères de Pourquoi Docteur ? qui, dans le cadre de la Journée mondiale de l’épilepsie, nous révèlent plusieurs informations pratiques sur la maladie permettant ainsi d’en améliorer notre compréhension. Pour rappel, au niveau national, l’épilepsie touche 0,7% de la population, et 50 millions de personnes dans le monde.

Quel que soit le type d’épilepsie dont on souffre, l’origine se trouve pour ainsi dire toujours dans la zone des neurones, ciblés par “une décharge anormale et simultanée”. Pour s’en prémunir, les patients se doivent d’éviter des situations à risque. Ne pas suffisamment dormir, absorber de l’alcool ou encore des drogues font partie des comportements à proscrire pour les malades.

9 février 2015, journée internationale de l’épilepsie

Ainsi, certains cas plus atypiques amènent les médecins à recommander à leurs patients de ne pas lire ou d’écouter de la musique. En ce qui concerne la possibilité pour les personnes atteintes d’épilepsie de pouvoir conduire, elle est définie par une commission ad hoc. Si l’on est victime d’un minimum de 2 crises sur une durée de 5 ans, le permis de conduire nous est retiré.

Il faut néanmoins savoir que sur la base d’un arrêté du 14 septembre 2010, l’épilepsie est considérée telle une “affection médicale incompatible” avec la conduite.

La pratique du sport généralement autorisée

L’épileptologue Mihaela Vlaicu nous apprend également que certaines classes de médicaments, parmi les plus anciennes, peuvent interférer avec les traitements auxquels sont soumises les personnes épileptiques. Les femmes enceintes ont quant à elles droit à une “prise en charge adaptée” en raison d’un risque accru de crises dû à la grossesse. La pratique du sport à un niveau modéré apparaît recommandée, même si des cas particuliers peuvent motiver les médecins à établir des certificats.

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