Joggeuse : elle a été agressée sexuellement et tuée avec le cutter
Le meurtre de la joggeuse de Nîmes a engendré une vive émotion dans le secteur Courbessac, où l’agression a eu lieu. Les résultats de l’autopsie ont été révélés. Cette trentenaire a été agressée sexuellement et tuée avec l’arme blanche.
Rapidement l’alerte avait été donnée par son compagnon jeudi soir. La joggeuse était partie courir dans l’après-midi dans le secteur de Courbessac sur le chemin du Sanglier. Ce paisible quartier est d’ailleurs sous le choc, car il n’y a jamais eu une affaire semblable dans les environs. Ce meurtre s’est également déroulé à quelques mètres de l’école où ses enfants étaient scolarisés et en plein jour. Une source judiciaire a indiqué que la joggeuse n’avait pas été violée, mais agressée sexuellement, « la victime se serait débattue et l’agresseur n’aurait pas pu parvenir à ses fins ». Des objets ont également été retrouvés à proximité de son corps, puisque les enquêteurs ont retrouvé des pierres et une lame de cutter.
Agression sexuelle
Certains journaux indiquent que la joggeuse aurait été égorgée. Dans tous les cas, son corps était couvert de coup, selon la procureure, cette trentenaire a été massacrée par son agresseur. La police continue ses investigations dans le but de rechercher l’un ou les auteurs de ce crime. Ils ont également mené une enquête de voisinage qui se poursuit actuellement. Le compagnon qui avait donné l’alerte a été écarté. Pour l’instant, les recherches se déroulent au niveau du secteur de Courbessac, les policiers s’attardent sur les habitants. Des investigations un peu plus étendues sont également mises en place puisque les enquêteurs regardent les fichiers nationaux des personnes condamnées pour viols et meurtres dans le Gard, Vaucluse et Bouches-du-Rhône.
Un appel à témoin a également été mis en place. Les premiers témoignages ont déjà été recueillis, mais la cohérence des histoires doit être vérifiée. Une source proche du dossier a indiqué que « des choses signalées sont infondées ou n’ont rien à voir avec l’affaire ». Le numéro de téléphone (04.67.99.35.97) est toujours disponible.