Menu
24matins.fr24matins.fr
Obtenir l’application
Navigation : 
  • Actualité
    • Actualités du jour
    • Faits Divers
    • Insolite
    • Société
    • Santé
  • Économie
  • Politique
  • International
  • Sport
    • Foot
    • Rugby
    • Tennis
    • Basket
    • Handball
    • Cyclisme
    • Auto
  • Tech
    • Sciences
  • Divertissement
    • Cinéma
    • Séries TV
    • Musique
    • Médias
    • People
En ce moment : 
  • COVID-19
  • Birmanie
  • Séisme
  • Viol
  • Médias

Infarctus : Attention aux symptômes atypiques

Santé > Infarctus : Attention aux symptômes atypiques > Infarctus : Attention aux symptômes atypiques
Par Sebastien Veyrier,  publié le 3 mars 2017 à 19h25.
 2 minutes

Selon une étude britannique, de nombreux infarctus ne seraient pas diagnostiqués à cause de leurs symptômes atypiques.

Selon l’INSERM, 120 000 personnes sont touchées par un infarctus du myocarde chaque année en France et 18 000 en meurent. Si certains symptômes doivent alerter, une étude menée par l’Imperial College de Londres et des chercheurs d’Harvard démontrent que certains infarctus sont mal diagnostiqués, car les-dits symptômes sont atypiques.

1 patient sur 6 mal diagnostiqué

Les résultats de cette recherche menée en étudiant de près les 135 950 dossiers de personnes décédées d’un infarctus ont été publiés dans la revue scientifique The Lancet Public Health.

Chez 21 677 de ces patients, la possibilité d’un infarctus n’avait pas été évoquée au moment de leur hospitalisation. Chez 60 % d’entre eux, cette hospitalisation ne concernait même pas un problème cardiaque. Chez 35 %, une pathologie du cœur a été évoquée et seuls 6 % des cas présentaient les symptômes liés à un infarctus.

Les symptômes atypiques en question

Pour les chercheurs, ces « erreurs » ou ces « non-diagnostics » sont explicables par le développement des symptômes dits « atypiques ». Si les douleurs au bras gauche, les sensations de resserrement dans la poitrine ou les douleurs au thorax font instantanément penser à l’infarctus, d’autres symptômes comme un mal de dos, des nausées, des douleurs à l’épaule ou une fatigue prononcée peuvent également être présents avant un infarctus.

Le problème, c’est que ces symptômes peuvent avoir d’autre cause comme un faux mouvement qui provoquerait une douleur dorsale que le médecin ne considérerait pas comme liée à un potentiel infarctus.

« Les médecins sont très compétents pour traiter les crises cardiaques lorsqu’elles sont la cause de l’hospitalisation, mais nous sommes moins efficaces quand il s’agit de prendre en charge un infarctus secondaire ou reconnaître des symptômes atypiques qui prédisent un risque de mourir d’une crise cardiaque dans un futur proche », précise le Dr  Perviz Asaria, responsable de l’étude.

Dans Santé

14h20
Crise sanitaire : le boom des applications pour rester en contact avec les seniors
14h00
Coronavirus : Gabriel Attal pense que dès la mi-avril la France puisse libérer un certain nombre de contraintes
11h25
Dans un jardin de Floride, des rubans suspendus pour chaque victime du Covid
7h10
Virus : l’épidémie ralentit aux Etats-Unis, mais repart en Europe
23h45
Virus : déconfinement progressif en Allemagne, Biden prône la prudence aux Etats-Unis
20h55
Covid : le Pas-de-Calais confiné le week-end et 23 départements sous surveillance
20h45
Privé de son public, l’orchestre de Franche-Comté fait la tournée des lycées
18h45
Covid : Castex appelle “solennellement” les personnels des Ehpad à se faire vacciner
18h00
Rennes : un homme de 20 ans décède après avoir consommé un brûle-graisse interdit
14h00
Grossophobie – Obésité : 18 % des Français subissent ou ont déjà subi des discriminations
  • Éditions :
  • France
  • Deutschland
  • United Kingdom
  • España
  • América Latina
  • South Asia
© 2021 - Tous droits réservés sur les contenus du site 24matins.fr - ADN Contents -