Ille-et-Vilaine : il roulait ivre le capot de sa voiture ouvert
Dimanche soir, les gendarmes d'Ille-et-Vilaine ont interpellé un homme qui roulait non seulement en état d'ivresse, mais également avec le capot de sa voiture ouvert. L'automobiliste a expliqué qu'il avait retrouvé son véhicule dans cet état après un match de football.
Avaient-ils déjà assisté à pareille scène ? Toujours est-il que les gendarmes d’Ille-et-Vilaine se souviendront probablement fort bien de cette fin de semaine. Dimanche dernier en début de soirée, ils ont ainsi interpellé un homme de 32 ans qui roulait avec le capot de sa voiture ouvert.
Il était aux environ de 19h00, rapportent nos confrères de France Bleu Armorique. Les militaires se livraient alors à un contrôle de vitesse, et un automobiliste d’avoir été arrêté sur la quatre voies entre Rennes et Redon, au niveau de la commune de Guignen.
Il aurait retrouvé le capot de sa voiture relevé au sortir d’un match de football
Ce n’est donc pas pour une vitesse excessive que ce trentenaire a été interpellé. Il conduisait ainsi avec le capot de son véhicule complètement relevé. Comme justification, il a expliqué qu’il était allé voir, en début d’après-midi, un match de football opposant le Stade Rennais au PSG.
C’est en revenant en direction de sa voiture qu’il aurait constaté les dégâts. L’homme aurait alors tenté de baisser son capot, sans succès. Mais plutôt que de trouver un autre moyen de locomotion, il aurait pris le volant du véhicule ainsi endommagé. Lors de son interpellation, il avait déjà englouti une trentaine de kilomètres.
#RennesPSG De retour de match, il circule avec le capot de son véhicule complètement ouvert. Intercepté, il est contrôlé positif aux stupéfiants et à l’alcool… #CaRisqueDeCoûterCher pic.twitter.com/AntqpPZhUF
— Gendarmerie d'Ille-et-Vilaine (@Gendarmerie_35) September 24, 2018
L’automobiliste était aussi drogué et alcoolisé
La version de l’automobiliste peut être mise en doute par l’état dans lequel il conduisait. Il s’est en effet avéré qu’il était positif à la fois aux stupéfiants et à l’alcool. Dans ce dernier cas, il affichait un taux d’1,8 gramme par litre de sang. Au final, son permis de conduire lui a été retiré sans délai.