Florent Pagny sur son cancer : « Les nouvelles ne sont pas terribles. Il y a des risques de métastases »

Dans l'émission "Sept à huit" proposée sur TF1, le chanteur Florent Pagny révèle être rentré à Paris en raison d'une possible récidive de son cancer.

Il y a un peu plus d’un an sur Instagram, Florent Pagny révélait être atteint d’une « tumeur cancéreuse au poumon ». Un choc pour les nombreux fans du coach emblématique de ‘The Voice’. A l’époque, il annonçait également qu’il n’allait pas honorer la suite de sa tournée d’anniversaire.

Une possible récidive de son cancer

Sur TF1 et au micro d’Audrey Crespo-Mara, Florent Pagny est revenu sur le sujet dans « Sept à huit » (l’entretien a été réalisé le 26 janvier en Patagonie) : « Je suis rentré sur Paris en raison d’une possible récidive de mon cancer. Les nouvelles ne sont pas terribles. Il y a des risques de métastases« , commence par indiquer l’artiste de 62 ans.

Il y a un ganglion qui a fixé

« J’ai passé un examen il y a très peu de temps parce que je me suis retrouvé, il y a une semaine, avec une énorme quinte de toux, où là, ça m’a rappelé mes débuts de cette histoire. J’ai vite été faire un aller-retour à Buenos Aires pour faire des images. Et en fait, les images, elles ne sont pas terribles. Il y a un ganglion qui a fixé. Ce qui fait qu’il y a des risques de métastases. Il y a toujours quelque chose qui finit par réapparaître. L’autre fois, c’était les taches blanches. Maintenant, c’est un ganglion qui marque« , s’inquiète le chanteur.

Peut-être que si j’avais été en France, j’aurais peut-être pas ce ganglion qui apparaît comme ça

Désormais,Florent Pagny souhaite faire un traitement d’immunothérapie : « Je n’ai pas fait mon traitement d’immunothérapie, alors il faut que je retourne vite le faire. Peut-être que si j’avais été en France, j’aurais peut-être pas ce ganglion qui apparaît comme ça. Et si j’avais suivi le programme prévu, peut-être… C’est un peu de ma faute car je n’ai pas poursuivi mon traitement jusqu’au bout malgré les conseils des médecins ; en même temps, on ne va pas non plus avoir peur et on ne va pas flipper… On va faire ce qu’on a à faire« .