Menu
24matins.fr
Obtenir l’application
Navigation : 
  • Actualité
    • Faits Divers
    • Insolite
    • Société
    • International
  • Économie
  • Santé
  • Politique
  • Sport
    • Foot
  • Tech
    • Sciences
  • Divertissement
    • Cinéma
    • Séries TV
    • Musique
    • Médias
    • People
En ce moment : 
  • Pouvoir d'achat
  • COVID-19
  • Jeux olympiques
  • Netflix
  • Christophe Mae

États-Unis : le passé trouble de l’homme greffé d’un cœur de porc refait surface

Faits Divers > États-Unis
Par Sebastien Veyrier,  publié le 17 janvier 2022 à 21h00.

Le quinquagénaire qui a bénéficié de cette prouesse chirurgicale inédite a connu des démêlés avec la justice par le passé. Il a en effet poignardé un autre homme à 7 reprises à la fin des années 1980.

Le début de l’année 2022 a été marqué par une véritable prouesse en matière de médecine. David Bennett, un homme de 57 ans faisait la une de la presse internationale après être devenu le premier homme au monde à être greffé avec un cœur de porc. Si tout le monde saluait cette avancée spectaculaire et la nouvelle vie de ce patient, ce dernier fait aujourd’hui les gros titres pour son passé très trouble. Ce dernier s’est en effet rendu coupable d’avoir poignardé un homme à 7 reprises en 1988, le laissant handicapé à vie.

Une histoire de jalousie

Le profil de David Bennett a resurgi suite à une enquête du Washington Post. Les faits remontent à une soirée de 1988. David Bennett se serait rendu coupable d’un coup de folie en assénant 7 coups de couteau dans le dos à Edward Shumaker au simple motif que sa femme était assise sur les genoux de cet homme.

Sur la BBC, la famille de la victime déplore le fait qu’on ait sauvé la vie de David Bennett alors que depuis cette journée de 1988, leur proche vit en fauteuil roulant à cause des blessures irréversibles causées à sa moelle épinière.

Une affaire qui ne compte pas pour les médecins

Alors qu’ils ont été pointés du doigt, les médecins du centre médical de l’université du Maryland à l’origine de l’opération ont tenu à clarifier leur rôle dans un communiqué. Pour eux, la question du passé d’un patient ne se pose pas. Ils ont tenu à rappeler « l’obligation morale pour l’hôpital de fournir des soins vitaux égaux à tous les patients.

Le Récap
  • Une histoire de jalousie
  • Une affaire qui ne compte pas pour les médecins
En savoir plus
  • À cause d’un Covid long, elle ne reconnaît plus aucun visage
  • Etats-Unis : cadavre humain, animaux morts, excréments… des enfants vivaient dans une maison de l’horreur
  • États-Unis : une fillette de 3 ans tue sa sœur de 4 ans avec une arme à feu
Vous aimez nos contenus ?
Recevez chaque jour nos dernières publications gratuitement et directement dans votre boite mail
Recevoir la newsletter
  • À Propos
  • Nous contacter
  • Infos Légales
  • Gestion des données personnelles
  • France
  • Deutschland
  • United Kingdom
  • España
© 2023 - Tous droits réservés sur les contenus du site 24matins.fr  - ADN Contents -