États-Unis : arrêtée pour s’être mariée avec sa fille après avoir fait de même avec son fils
Aux États-Unis, une femme de 44 ans et sa fille de 26 ans ont été arrêtées après qu'il a été découvert que cette mère et son enfant étaient mariées. Il apparaît que la quadragénaire avait fait de même avec son fils en 2008.
Les autorités de l’État d’Oklahoma (États-Unis) ont arrêté une femme de 44 ans et sa fille de 26 ans après qu’il a été découvert que cette mère et son enfant étaient unies par les liens d’un mariage incestueux. Il y a plusieurs années de cela et pour un motif non communiqué, la quadragénaire avait perdu la garde de ses trois enfants.
Misty et ses deux frères avaient été confiés à l’un de leurs grands-parents, rapporte (en anglais) le Telegraph. Il y a deux ans, la mère des enfants a retrouvé sa fille Misty, et il est apparu qu’au mois de mars de la même année, les deux femmes se sont mariées.
Une mère se marie avec sa fille sans se considérer hors-la-loi
Alors que l’Oklahoma interdit le mariage incestueux (qu’il comprenne des relations sexuelles ou non), la quadragénaire a déclaré qu’elle ne s’est pas sentie hors-la-loi en épousant sa fille étant donné que son nom ne figure pas sur le certificat de naissance de Misty. Leur relation a été découverte le mois dernier par les services sociaux de l’État, dans le cadre d’une enquête portant sur le bien-être des trois enfants placés chez leur grand-parent.
Elles encourent une peine maximale de dix ans
On apprend de même qu’en 2008, cette mère s’était déjà mariée avec son fils, avant que cette union ne soit annulée deux ans plus tard. Son autre fils l’accuse d’avoir forcé sa sœur à se marier avec elle, et que “beaucoup de personnes qui le savent”. Et d’ajouter que “pour que tu veuilles impliquer ta propre fille là-dedans, quel genre de personne es-tu ?”
Actuellement détenues à la prison du comté de Stephens avec une caution fixée à 10.000 dollars, les deux femmes sont désormais dans l’attente de leur jugement. Si reconnues coupables, elles pourraient être condamnées à une peine maximale de dix ans d’emprisonnement.