5G : l’Anses confirme une nouvelle que le réseau ne présente aucun risque pour la santé
L’Anses vient à nouveau de souligner que la 5G était complètement sûre pour la santé et que ses ondes n’affectaient pas l’organisme.
Au fur et à mesure des mois, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) met à jour son étude parue en 2020 concernant les risques de la 5G sur la santé. Une nouvelle fois, elle est venue affirmer que le nouveau réseau télécom ultra-rapide était sûr pour la santé et que les ondes n’affectaient pas l’organisme. Cependant, l’agence recommande tout de même de poursuivre les études autour de la 5G.
La 5G n’est toujours pas dangereuse pour la santé
Une nouvelle fois, l’Anses vient de rassurer les Français autour du réseau 5G. En mettant à jour son dernier verdict datant de 2021, l’organisme assure une nouvelle fois que cette nouvelle génération de télécom ne présente aucun risque pour la santé. Pour arriver à cette conclusion, l’agence est partie recueillir le témoignage de 200 volontaires et a relevé les données d’expositions « au voisinage des antennes relais 5G ».
Pour rappel, une polémique avait eu lieu autour du dernier rapport datant de 2021. L’Anses soulignait en effet qu’il était « peu probable que le déploiement de la 5G (dans les bandes de fréquences déjà déployées en France) présente de nouveaux risques pour la santé ». Une affirmation jugeait trop précoces par certains étant donné que le réseau avait commencé à être déployé depuis seulement quelques mois.
C’est dans cet objectif que l’Anses est venu renforcer son rapport avec des données plus exhaustives par le biais de consultations publiques sur plusieurs semaines. De ce fait, l’agence vient finalement de conclure que « les niveaux globaux d’exposition aux champs électromagnétiques seront comparables ou légèrement supérieurs à ceux des technologies existantes », notamment car les fréquences de la 5G se rapprochent grandement de celles de la 4G. Elle est tout de même venue recommander de nouvelles études complémentaires ainsi qu’un « usage résonné » du réseau.