Stéphane Plaza : « Pour mon premier rôle au cinéma, je tenais à mes donner à mille pour cent »
Même si l'animateur vedette d'M6 Stéphane Plaza, se repose à Roland-Garros en faisant le show dans les tribunes avec Karine Le Marchand pendant un match de Nadal, il est revenu sur sa première expérience au cinéma chez nos confrères de Gala.
Dans le dernier numéro de Gala (en kiosque), Stéphane Plaza évoque son premier rôle au cinéma dans le film de Didier Van Cauwelaert « J’ai perdu Albert ».
Dans cette comédie, l’agent immobilier le plus ‘célèbre de France’ joue aux côtés de Julie Ferrier, Josiane Balasko, Alex Vizorek ou encore Bernard Le Coq : « C’est un rôle, une comédie romantique qui va casser mon image ! Au départ, je n’étais pas du tout dans le casting de ce long-métrage« .
De son côté, le réalisateur Didier Van Cauwelaert précise : « Lorsque j’ai appris que l’acteur pressenti ne pouvait plus faire le film, j’étais en train de regarder une émission de Stéphane Plaza ! », se remémore-t-il ajoutant :
« Stéphane, je ne le connaissais pas mais j’aimais son humour, sa poésie gaffeuse, sa générosité blessée. Je me suis dit pourquoi pas lui« .
Je joue un paumé hypertendu
Pour Stéphane Plaza, ce sera donc un rôle de composition : « Moi qui suit d’un naturel jovial, décontracté, je joue un paumé hypertendu, un loseur idéaliste qui part soudain en guerre pour continuer le dernier combat d’Einstein : empêcher la disparition des abeilles. C’est mon premier rôle au cinéma, et pour un film qui est un véritable ovni. Je voulais sublimer la confiance que Didier (Van Cauwelaert -NDLR) a mise en moi. Parce qu’il m’a choisi, je tenais à mes donner à mille pour cent« .
Le film sortira au cinéma le 12 septembre prochain et espérons qu’il aura autant de succès que son émission d’M6 « Chasseurs d’appart » ou de ses agences immobilières « Stéphane Plaza » dont le réseau affiche une croissance insolente.
Le pitch de « J’ai perdu Albert » :
Chloé, jeune médium que s’arrachent les grands chefs d’entreprises, les hommes politiques et la jet set, abrite en elle depuis l’enfance l’esprit d’Albert Einstein. Mais, prise au piège de son succès, elle en fait trop ! Surmenée, les informations ne « passent » plus. Alors Albert décide de déménager… Pour le meilleur et pour le pire, il s’installe dans Zac (Stéphane Plaza), un dépressif cartésien, apiculteur en déroute et garçon de café. Devenus indissociables et complémentaires, parce que l’un détient le « génie » et l’autre son mode d’emploi, Zac et Chloé, ces deux êtres que tout oppose, vont vivre en 48 heures le plus hallucinant des «ménages à trois»…