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Greffes d’utérus : premier essai clinique autorisé en France

Santé > Greffes d’utérus : premier essai clinique autorisé en France > Greffes d’utérus : premier essai clinique autorisé en France
Par Gael Brulin,  publié le 7 novembre 2015 à 11h05, modifié le 7 novembre 2015 à 11h06.
 2 minutes

L'Agence nationale de sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé vient d'autoriser une équipe du CHU de Limoges à pratiquer des greffes d'utérus dans le cadre d'un essai clinique.

Début octobre, une commission de l’Imperial College de Londres (Royaume-Uni) donnait son autorisation dans le cadre d’un essai clinique de greffes d’utérus. Une décision qui intervenait plus ou moins un an après qu’une femme ait accouché suite à une telle intervention subie en Suède.

Et l’on apprend, via nos confrères du Monde, que c’est au tour de la France de se prononcer en faveur de ces tests. L’Agence nationale de sécurité sanitaire du médicament et des produits de santé (ANSM) vient ainsi d’accorder son approbation à une équipe du CHU de Limoges pour un essai clinique allant concerner huit femmes.

Essai clinique de greffes d’utérus : l’ASNM dit oui à une équipe du CHU de Limoges

On nous rapporte que les scientifiques œuvrant au sein de cette équipe de Limoges travaillent sur le sujet depuis 1999. Avec des recherches ayant d’abord ciblé des animaux avant que les chercheurs ne procèdent au prélèvement d’utérus chez des femmes en état de mort cérébrale. Il est à noter qu’en plus d’avoir reçu le feu vert de l’ANSM, l’essai clinique a de même été validé par le comité de protection des personnes (CPP) de la région, son financement provenant de fonds publics.

“Démontrer que les bénéfices sont supérieurs aux risques”

Tristan Gauthier, gynéco-obstétricien au CHU de Limoges et principal responsable de l’essai, explique le but à atteindre : “L’objectif principal de cette étude de faisabilité est de démontrer que les bénéfices sont supérieurs aux risques, c’est-à-dire que ces transplantations peuvent permettre d’aboutir à des naissances, sans complications majeures.” En ajoutant toutefois qu’il ne faudra pas s’attendre à de premiers résultats avant de nombreux mois : “Nous nous réjouissons de cette autorisation, parmi les premières accordées dans le monde, mais il y a des étapes incompressibles. La première greffe se fera au mieux fin 2016, avec l’inconnue de la durée d’attente d’un greffon compatible. Ensuite, il faudra attendre un an que la greffe soit stabilisée, avant de mettre en route une grossesse par fécondation in vitro. La première naissance n’aura donc pas lieu avant fin 2018.”

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