Jean-Paul Belmondo demeure “optimiste” pour l’avenir
À 83 ans, Jean-Paul Belmondo sort son autobiographie "Mille vies valent mieux qu'une". L'occasion pour lui de délivrer une "vérité" visant à éteindre les mensonges racontés sur lui.
Lundi prochain sortira dans les librairies Mille vies valent mieux qu’une, aux éditions Fayard. Un livre fatalement pas comme les autres puisque se révélant l’autobiographie de Jean-Paul Belmondo. Si ses 83 printemps peuvent exprimer à eux-seuls la pertinence d’un tel ouvrage, Bébel le souhaitait apparemment davantage pour y “dire la vérité”.
C’est ainsi ce que le comédien a confié à nos confrères de RTL : “J’avais envie de le faire, je l’ai fait. Car les gens me disaient beaucoup de choses qui n’étaient pas vraies”. Il se sera au passage voulu rassurant sur son état de santé, pour lequel on semble toujours s’inquiéter suite à l’accident vasculaire cérébral dont a été victime Jean-Paul Belmondo en août 2001 : “Je vais bien, tout va bien. J’ai vécu avec et je vais très très bien”.
“Mille vies valent mieux qu’une” : l’autobiographie de Belmondo
Cette autobiographie devrait donc être l’occasion de découvrir un envers du décor finalement peu dévoilé par le “Magnifique” tout au long de sa vie. La réponse du principal intéressé à ce constat semble évidente et à l’opposé d’une réalité d’aujourd’hui : “On n’a pas besoin d’exposer sa vie privée pour faire une carrière”.
Une fin de carrière pas confirmée
Et si l’on se demande si Jean-Paul Belmondo en a définitivement terminé avec le cinéma, son commentaire ne le confirme en rien : “Un acteur ne se dit jamais : je ne jouerai plus […] Il faudrait que quelqu’un ait l’idée d’écrire pour un boiteux. Peut-être un jour”. Son dernier rôle en date sur le grand écran remonte à 2009 avec Un homme et son chien de Francis Huster.
La déclaration qui suit fait possiblement un peu mieux comprendre l’état d’esprit du comédien, apparaissant toujours convaincu de lendemains qui chantent : “Vous savez, nous sommes dans une période triste, les attentats me bouleversent comme tout le monde. Mais je garde l’optimisme”.