Une ancienne candidate des « Douze coups de Midi » témoigne de photos sexuelles reçues de la part de Christian Quesada
La candidate, qui dit s'être sentie manipulée, a reçu des photos du sexe de Christian Quesada après deux années d'échanges virtuelles.
C’est un nouveau témoignage accablant à l’encontre de Christian Quesada, champion des « Douze coups de midi », mis en examen pour corruption de mineur et détention, diffusion d’images pédopornographies, qui est aujourd’hui révélé par Closer.
Émeline, qui participait également à l’émission, raconte au site avoir rencontré le candidat et reçu des photos d’ordre sexuelle de sa part. La jeune femme de 26 ans affirme s’être « pris une claque » en ayant eu le sentiment d’être « manipulée ».
Un nouveau témoignage à l’encontre de Christian Quesada
Les faits remonteraient à juillet 2016. Lors de sa participation à l’émission « Les Douze coups de midi », Émeline rencontre Christian Quesada, aujourd’hui accusé de pédophilie. Pendant le tournage, la jeune femme discute avec le candidat autour d’un déjeuner et le courant passe plutôt bien.
C’est par la suite que Christian Quesada retrouvera Émeline sur les réseaux sociaux avant de commencer à discuter virtuellement avec elle. L’homme lui confie être « content de voir qu’il y avait des jeunes qui avaient de la culture générale ».
Une discussion qui dérape deux ans plus tard
C’est deux ans plus tard que la discussion prend une tournure étrange. Christian Quesada envoie trois photo de son pénis à Émeline et affirme s’être « tordu après être tombé sur une plaque de verglas ». La femme reconnaît avoir été naïve et pensé que son geste était innocent, comme « une photo d’un bras dans le plâtre ou d’une cheville foulée ». Il faut dire que la candidate a entretenu une relation amicale pendant deux ans avec l’homme, discutant de sujets quotidiens.
Mais depuis les révélations, Émeline revient sur cet épisode et affirme s’être « pris une claque » et plus du « sentiment d’avoir été manipulée ».
A l’heure actuelle, Christian Quesada est toujours en détention.pour corruption de mineur et détention, diffusion d’images pédopornographiques.